Aujourd'hui était un grand jour ! Maman m'avait laissé sortir me balader ! Elle m'avait dit « Tu es bientôt grand maintenant, tu dois apprendre à te comporter comme tel » Alors elle m'avait chassé de la tanière pour une fois, alors que je voulais faire une sieste cette après midi. Je m'étais retrouvé en pleine forêt, tout seul, les yeux bouffis de sommeil, sans rien à faire, tout seul.

Mais bientôt, la forêt me réveilla, par toutes les curiosités qu'il y avait à voir ici. Des oiseaux, des papillons, des petits insectes, mais aussi quelques proies, comme des souris. J'avais voulu en attraper une, que j'avais vu assez tôt, mais elle m'avait vu, je ne savais pas comment. Je pensais qu'il n'y avait que moi qui pouvait entendre le sol trembler, sans voir. Peut être que les souris pouvaient le faire. J'avais déjà compris que tout les loups ne pouvaient pas le faire, Lisha me l'avait expliqué. Néanmoins, les proies avaient peut être des pouvoirs.

Je progressais de ci de là, sans vraiment me préoccuper du chemin que je prenais. Je savais qu'avec mon odeur, je retrouverais la tanière. Et si maman voulait venir me chercher, ou jouer avec moi, elle pourra me trouver aussi.

J'entendais des bruits inconnus, que je n'avais jamais entendu avant. Ils n'étaient pas menaçants. On aurait dit de la pluie, mais le soleil brillait et je n'étais pas mouillé. Des clapotis réguliers, comme si elle ne s'arrêtait jamais. Une vague odeur de pluie, presque la même, flottait dans l'air. Elle devait être tout prêt. Je trottais dans les herbes hautes. La terre était très humide, elle collait au pelage, à mes pattes. Soudain, je freinais sec devant une grande étendue de pluie, qui coulait sur un chemin. Le bruit était très fort ici. La pluie venait-elle de là ? Comment montait-elle dans le ciel alors ? Pouvait-elle voler, comme les oiseaux ?

Curieux, je touchais du bout de la patte, la pluie mouvante. Elle bougeait vraiment. On aurait dit une flaque d'eau, mais vivante. C'était donc une flaque de pluie. Lorsque l'eau ne bougeait pas, je l'appelais eau. On pouvait la boire et se laver dedans. Lorsqu'elle bougeait, je l'appelais pluie. Je savais qu'elle pouvait tomber du ciel, mais pas couler comme ça. Je pourrais raconter ma découverte à maman !

Néanmoins, je n'étais pas tout seul ici. Je le sentais, le sol me le disait. Un petit animal se faufilait doucement dans les broussailles derrière moi. Au début, je ne m'étais pas inquiété, je sentais ce genre de vibrations souvent. C'était peut être une souris ou autre chose. Mais la vibration ne s'arrêtait pas, et mon instinct me disait que c'était un animal plus gros qu'une souris, mais pas aussi gros qu'un loup. Un loup adulte. Peut être que c'était un petit louveteau !

A l'idée d'un compagnon de jeu, de découverte, j'étais excité comme une puce. Partager quelque chose avec un loup de mon âge, une découverte ensemble, c'était la vraie vie ! Devenir grand comme disait maman. Toute peur oubliée, je m'éloignais un peu de la flaque de pluie, museau en avant afin de me servir de mes autres sens, pour découvrir quel était ce nouvel arrivant.

La petite louve était parti déjà tôt le matin se baladais loin de la tanière elle ne connaissais personne et était très timide en présence des autres alors elle préférait les éviter, pour une fois que sa mère l'autoriser a sortir elle n'allait pas se prive. Ce jours la elle avait envie d'apprendre a connaitre les autres loups de la meute mais elle n'osais pas aller les voir.

La jeune louve c'était beaucoup plus éloigner que d'habitude car elle avait repérais l'aura d'un louveteaux pas très loin d'où elle était et c'était cacher dans les broussaille des la sorti du petit. Elle voulait pas se montrer et avait décider de le suivre cacher pour savoir exactement si c'était un ami ou ennemi.

La jeune petite louve l'avait observer quand il avait essayer d'attraper la sourie et elle avait beaucoup ri intérieurement quand celui ci l'avait loupé pas pour ce moquer c'est juste que c'était drôle. Elle aimerai bien devenir son amie mais était timide et ne savait pas comment l'aborder. Elle préférait pour le moment le suivre elle était curieuse de voir comment il réagisse a toute ces chose la de la nature. La petite louve rester cacher près d'un buisson au bord de l'eau elle pensait que le louveteaux ne l'avais pas remarquer car pourtant elle était très discrète.

Au bout de quel que minute elle décide de sortir discrètement de sa cacher et de partir plus loin au niveau de la rivière, a près tout elle n'aller pas le surveiller toute la journée puis elle n'était pas encore prête a voir ces " nouveaux amis " comme sa mère s'obstiner a dire. Mais elle commencer a regretter son choix.

A mi-chemin elle fini par faire demie tour et se présenter devant le petit de tout a l'heure et prononça d'une voix tremblante :

- B ... Bon ... Bonjours excuse-moi de t'importuner je viens d'arriver et ... et ... ma mère ma demander de me trouve des amis tu veux bien. A près avoir dit cela elle baissa la tête comme si elle eu honte de ce qu'elle demander, regardent le sol elle attendait une réponse.

spoiler:

Je tombais truffe à truffe contre une louve blanche et verte, étrange couleur, mais les loups d'ici arboraient souvent de jolis couleurs en rapport avec la nature sur leur fourrure, ce qui rendait la meute très diversifiée. En plus, être vert devait être plus facile pour se camoufler dans les buissons ou dans l'herbe haute ! Et si il neigeait, elle pourrait se camoufler au sol, feignant d'être une partie du sol fondue.

La louve semblait avoir mon âge, et elle était très timide. Elle n'osa pas prononcer un mot avant quelques instants. Puis, en bégayant, elle se lança :

« B...Bon...Bonjours excuse-moi de t'importuner je viens d'arriver et .. et..ma mère ma demander de me trouve des amis tu veux bien ? »

J'étais un peu désarçonné par tout cela, et je ne comprenais pas tout. On aurait dit qu'elle me donnait une sorte d'ordre, comme si j'étais obligé de devenir son ami car sa mère l'avait demandé. Ce n'était pas comme ça que l'on se faisait des amis d'après moi. De l'autre coté, je ne pouvais pas donner de leçons, je n'avais pas d'amis moi même, je ne savais pas comment on faisait. Mais j'avais bien envie d'avoir des amis quand même, pour une fois que l'occasion se présentait ! Et puis, elle semblait si triste, si seule. Elle avait immédiatement baissé la tête après sa demande, comme si cela lui coûtait. J'avais bien envie de lui faire plaisir, et j'avais bien envie d'avoir une amie.

Je m'avançais pour lui effleurer l'oreille avec mon museau.

« Oui je veux bien. Moi non plus je n'ai pas d'ami, c'est pour ça que je suis parti seul dans la forêt. »

Je reculais d'un pas. J'eus une idée géniale d'un seul coup.

« Est-ce que ça te dirait de partir à l'aventure avec moi ? On va sûrement faire de grandes découvertes ensemble ! J'en ai déjà fait une, viens voir ! »

Je décampais aussi sec près de la flaque de pluie, en faisant attention de bien m'arrêter avant de tomber dedans. Je restais près de la femelle, attentif, car j'avais bien failli tomber la première fois. Ensuite, je lui expliquais ma découverte :

« Regarde, c'est comme de la pluie, mais au sol, comme les flaques par terre lorsque la pluie a fini de tomber. J'ai appelé ça une flaque de pluie. Fais attention si tu la touches, j'ai mis ma patte dedans et j'ai failli tomber ! »

Mes poils s'étaient dressés sur mon échine, signe de la frayeur que j'avais eu. Puis je me calmais en oubliant peu à peu ce souvenir. Je laissais la femelle découvrir à sa guise la flaque d'eau en réfléchissant.

« Au fait, quel est ton nom ? »

Spoiler:

Elle était surprise que le petit accepte aussi facilement, bon en même temps elle était contente car au moins comme ça le lendemain elle pourrai dormir ou rester seule sans que sa mère la force a se trouver des amis puisqu'elle venais d'en trouver un. Elle ne savait pas quoi faire avec lui.Puis elle le vit reculer d'un pas comme si le louveteaux qui se trouver en fasse d'elle eu une idée.

Puis il fini par dire:
« Est-ce que ça te dirait de partir à l'aventure avec moi ? On va sûrement faire de grandes découvertes ensemble ! J'en ai déjà fait une, viens voir ! »

Puis le petit au pelage marron et blanc décampais aussi sec près d'une flaque de pluie, en faisant attention de bien s'arrêter avant de tomber dedans. Il resta près de moi et je n'aimer pas trop ça c’était la première fois que quel qu'un rester a mes cote, il sembler attentif, je le regarder d'un aire intriguer. Ensuite, il expliquais sa découverte :

« Regarde, c'est comme de la pluie, mais au sol, comme les flaques par terre lorsque la pluie a fini de tomber. J'ai appelé ça une flaque de pluie. Fais attention si tu la touches, j'ai mis ma patte dedans et j'ai failli tomber ! »

Ses poils s'étaient dressés sur son échine, signe d'une frayeur qu'il a du avoir. Puis il se calma. Puis il me laissa découvrir à ma guise la flaque d'eau en réfléchissant.Je m'approchait de celle ci d'un pas hésitante moi qui voulais rester seule aujourd'hui c'est rater a cause de ma mère. Je tata du bous de ma patte cette eau elle était si froide que j'en nu des frison et m’écarta aussitôt puis le petit me posa une question :
« Au fait, quel est ton nom ? »

<< - Je m'appelle ... m'appelle Mi... Mi... Mickaela >> dis-je tout bas je voulais vraiment pas le dire mais jetait bien forcer je regarder de nouveau le sol le grattent l’égerment de mes patte et lui demanda sans lâcher le sol de yeux

<< - et ... et toi comment ... comment tu T'APPELLE >>je crier en sortent le dernier mot c’était si difficile pour moi

Elle tâta prudemment du bout de la patte la pluie qui coulait toujours aussi rapidement dans la flaque, avant de retirer sa patte en frissonnant. Elle avait dû sentir, tout comme moi, la puissance de la pluie, qui semblait vouloir nous emporter dans la flaque, et nous emmener jusqu'à un endroit inconnu. Après ma question, la femelle retomba dans sa timidité. Je crus même qu'elle n'allait pas me répondre avant que, tout bas, je puisse entendre sa réponse :

<< - Je m'appelle ... m'appelle Mi... Mi... Mickaela >>

Mickaela, quel nom étrange ! Mais je n'osais le dire à voix haute, car dans la meute, certains venaient de très loin, de lieux sûrement différents d'ici et donc étranges. Je trouvais cela normal qu'ils aient alors des noms étranges. En regardant le sol, elle me demanda alors :

<< - et ... et toi comment ... comment tu T'APPELLE >>

Je fus surpris, et je sursautais. Mais je restais sur mes pattes. Un relent de peur flottait dans l'air. Je reniflais et je compris que cette peur venait de Mickaela. Je sentais que la femelle avait très peur de me parler, même si j'avais son âge et que je ne semblais pas menaçant. Sa façon de parler et de regarder le sol me le disait. Je voulais tenter de la rassurer, mais avant, je répondis à sa question d'une voix enjouée :

« Je m'appelle Lycalo ! »

Puis je m'approchais d'elle doucement pour ne pas lui faire peur.

« Il ne faut pas avoir peur de moi, je suis gentil ne t'inquiètes pas. »

Je lui effleurais le flanc avec ma queue en signe d'amitié. Mais trêve de bavardages ! Nous n'étions pas ici pour discuter comme des adultes. Nous avions tout une forêt à découvrir ! Je m'inquiétais quand même un peu de notre futur expédition, car Mickaela semblait vraiment apeurée. Et si elle était trop apeurée pour pouvoir explorer autour de nous ? Je pourrais sûrement la protéger, ou la rassurer à défaut d'autre chose, vu que je ne savais pas vraiment me défendre.

Je me retournais pour me faufiler dans les herbes hautes. J'avais déjà une idée d'où est ce qu'on pourrait aller.

« Suivons la flaque de pluie dans le sens contraire de son écoulement. On trouvera peut être la source de la pluie ! »

D'une voix douce, j'ajoutais :

« N'aie pas peur, je ne crois pas qu'il y ait du danger par là bas. Et si il y en a, je te protégerai, je te le promets ! »

Une grande chaleur se diffusait en moi, de ma poitrine jusqu'à mon ventre en passant par mes pattes et finissant par la queue. Si on ressentait cette impression dès que l'on avait des amis, et que l'on vivait enfin, je souhaite de vivre le plus possible avec des amis à mes cotés !

Il ma dit d'une voix douce :

« N'aie pas peur, je ne crois pas qu'il y ait du danger par là bas. Et si il y en a, je te protégerai, je te le promets ! »

A c'est mots la petite louve eu le sourire elle commença a prendre confiance en ce jeune loup et la louve blanche et verte commencer a changer d'avis sur les amis elle ce dit dans la tête : "Finalement ca peut être sympa d'avoir des amis je devrait arrêter d'avoir peur et d'être timide et de commencer a vraiment l'apprécié "
Enfin a près cette parler a elle même dans ca tète elle s'engagea dans les herbe haut pour suivre son nouvelle ami Mickaela avait envie de découvrir ce que le petit loup voulais lui montré.
Elle trouva bizarre de garder le sourire aussi longtemps sa lui était jamais arriver aussi longtemps, tout a coups un chaleur ce diffusa en elle une étranger sensation lui traversa tout le corps cela lui était étranger elle ce dit :
" Alors c'est sa qu'on ressent quand on n'a un ami ... Je sent un changement en moi et mon aura et un peut plus lumineuse chaque instant ... mais qu'el et ce sentiment qui me parcours ... Serrais la joie d'avoir un ami ? ... Oui je crois que c'est sa...Alors je suis heureuse
Puis m'machinalement elle regarda l'aura de son ami et vi le même changement que j'ai elle. Un brin d'herbe bougea a cause d'un petit vent que venait du sud puis elle s'arrêta brusquement et dit d'une voix haute et joyeuse :
<<- Je suis heureuse de t'avoir comme ami et j'espère qu'on le restera longtemps>>

Spoiler:

La femelle, qui semblait tout de même encore mal à l'aise, m'accorda néanmoins un sourire, signe que sa confiance envers moi grandissait. Tandis que nous nous engageâmes maladroitement dans les fourrés, les herbes hautes, et les sentiers tracées par des pattes plus grandes que nous, Mickaela semblait dans la lune. Elle ne regardait pas trop où elle marchait, quite à se prendre des branches ou à trébucher dans les trous. Je n'osais l'interpeller, ne sachant comme réagir.

Mais finalement, je sentais la femelle se détendre. Lorsqu'elle était tendue, ses pas étaient raides et durs, cela faisait des vibrations plus conséquentes que les pas d'un louveteau insouciant et relaxé. Joyeuse, elle s'arrêta pour me dire :

<<- Je suis heureuse de t'avoir comme ami et j'espère qu'on le restera longtemps>>

Je grognais de joie avec un sourire en me retournant vers elle. J'avais presque envie de lui sauter dessus et jouer à se bagarrer, comme faisaient les autres louveteaux au camp, mais je n'osais pas. Il fallait avouer que même si je la reconnaissais comme amie, je n'étais pas si à l'aise que ça. Elle avait l'air vraiment timide et renfermée, si je faisais ou disais quelque chose qui ne lui plaisait pas, elle risquait de se refermer ou même de partir ! Finalement, je me contentais simplement de lui répondre :

« Moi aussi j'espère que tu resteras mon amie longtemps, amie pour la vie entière ! »

Je piquais soudain un sprint dans la forêt, zigzaguant entre tout ce que je pouvais percevoir. Peut être qu'elle aimait jouer à la course. En tout cas, moi j'adorais courir dans la forêt, sur son sol moelleux et agréable, et ses nombreuses brindilles qui pouvaient craquer sous mes pattes. Néanmoins, comme à chaque fois, ma course était de courte durée. Je me pris une branche un peu plus épaisse que les autres et je fis une roulade le long d'une petite butte, jusqu'à m'arrêter auprès des racines d'un grand chêne, entouré de feuilles mortes.

Un peu sonné par la chute, je massais mon museau endolori. Outch, quelle dégringolade. Je grattais mes flancs avec mes pattes arrières pour enlever les feuilles collées à mon flanc et je m'extirpais hors des racines noueuses du chêne. Je regardais autour de moi. Personne à l'horizon, je ne sentais rien et il n'y avait aucune vibration. Juste le petit bourdonnement, qui me rappelait que la flaque de pluie n'était pas loin, juste derrière ces hautes herbes là. Je me demandais où était Mickaela. M'avait-elle suivi ou étais-je simplement très rapide ? Je commençais à m'inquiéter pour elle, mais je n'osais pas faire de bruit. Je ne voulais pas qu'un prédateur me repère si je criais le nom de la femelle dans la forêt. Sortant tout à fait de ma cachette, je poussais des petits grognements, pour tenter de l'attirer jusqu'ici si elle m'entendait. Je tendis aussi l'oreille, attentif à tout hurlement ou cri de détresse de sa part. J'avais promis de la protéger des dangers, cela comptait toujours, même si je l'avais perdu de vue je l'avouais !

La jeune louve était plus détendu qu'a leur recompte comme si le faite d'avouer d'avoir un ami lui avait retire un poids et lorsque le jeune loup lui dit :
« Moi aussi j'espère que tu resteras mon amie longtemps, amie pour la vie entière ! »
Elle acquiesça avec un grand sourire. Puis tout a coup le petit parti en courent vers la foret et mickaela nu pas le réflexe de le suivre. Voila que pour la première fois elle se retrouva seule dans cette foret mais elle n'avais pas peur car Lycalo lui avais promit de la protéger et la petite louve blanche et verte avais confiance en elle.
Au loin dans la foret un bruit parvint a ces oreille comme ci quel qu’un était tomber puis plus rien.La petite louve commença a s'inquiété pour son ami. Finalement j’entendis quel que chose qui poussais des petits grognements, qui tenter de m'attirer alors je m’enfonça prudemment dans la foret vers ces bruit car il faut le dire jetait comme même un peut curieuse de savoir d’où sa venait.
Au bout d'un moment de marche je fini par repérait l'aura de mon ami parti plus tôt et je me mis a courir dans sa direction jetait heureuse de le retrouver et de le voir sain et sauf, mais ma patte arrière droite se pris dans une branche et je me mis a dégringoler du haut de la colline je n'arrivait pas a m’arrêter et je me mis a paniquer, tout tourner autour de moi et ma patte me faisait souffrir dans ma tête je me mis a me dire pendant que quel que larme sortais sa que je m'en aperçoivent :
" A l'aide, au secours, quel qu'un " mais personne ne répondit alors pour me donner du courage je murmura
<< arrête tu et bien plus forte que sa >>

J'entendis un bruit de calvade. Je me recroquevillais sur moi même, effrayé à l'idée qu'un loup étranger ou un renard m'ait entendu, mais cette course fut vite interrompue par un bruit de choc et des bruits sourds. L'intrus avait-il rencontré un autre intrus ? Cela expliquerait ces bruits de bagarre. Il s'avérait que je me trompais, et pour ainsi dire, je tombais de haut !

La calvade que j'avais entendu venait de Mickaela, qui m'avait finalement suivi dans ma course, qui avait dû trébucher tout comme moi, et dégringola la colline à toute allure, petite boule de fourrure blanche et verte qui roulait dans l'herbe haute. Rassuré, je courais à toute allure pour rejoindre la femelle, qui gémissait dans sa chute. Malheureusement j'étais trop loin à ce moment précis pour savoir ce qu'elle disait, néanmoins, il n'y avait aucun doute sur son intention. Elle cherchait de l'aide. Je la connaissais seulement depuis aujourd'hui, mais il me semblait que je la connaissais depuis toujours !

Sa course s'arrêta dans un petit ravin, peu profond heureusement, plein de feuilles mortes. Prudemment, je m'avançais du bord. Je ne voulais pas lui tomber dessus, j'étais plus massif que Mickaela, à défaut d'être plus lourd qu'elle. Je penchais mon museau vers la petite femelle et je lui aboyais :

« Est-ce que tu vas bien ? Tu ne t'es pas fait trop mal ? »

Je fus inquiet jusqu'à voir le bout de sa queue frémir, signe qu'elle était toujours avec moi. Maman m'avait raconté que parfois, certains loups semblaient endormis après un combat, une blessure, une maladie ou une chute, mais qu'ils ne se réveillaient jamais et que rien ne pourrait les tirer de ce sommeil. J'étais heureux que cela ne soit pas le cas pour Mickaela. J'aurai été si triste de perdre ma nouvelle amie si vite !

Voyant que la louve ne bougeait pas, je descendais calmement dans le ravin, pour me rapprocher d'elle. Une fois près d'elle, je lui touchais la fourrure du museau. Puis, un peu hésitant, je me rapprochais encore de la femelle jusqu'à ce que ma fourrure touche la sienne, toute douce, mais lisse, comme celle d'un loup adulte. Elle m'avait l'air effrayé, alors je cherchais à la rassurer.

« Ne t'inquiètes pas, tout va bien, je suis là. J'avais promis de rester pour te protéger, et regarde je suis là ! »

Je lui donnais un coup de langue sur l'oreille, attendant qu'elle réagisse.

[Si tu veux, on peut dire que tu t'es blessée à la patte arrière et que je dois te raccompagner jusqu'à ta tanière afin de finir le RP?]

La petite louve senti un coup de langue et sa la fit légèrement sursauter. Elle essaya de se relever, mais elle avait du mal. A chaque fois qu'elle essayer elle retombée sur c'est fesse. La jeune louve vit un petit liquide rouge sortir de sa patte arrière droite. La louve verte et blanche regarda tristement son ami et lui dit :
<< - Désolée mais je crois que l'on va devoir s'arrêter la. Je voulais pas me blesser pardonne moi>>

La petite louve se leva avec difficulté et elle parti en direction de la tanière mais elle s'arrêta nette, elle ne connaissait pas les lieux et ne savait pas ou aller. Elle s'assit et commença a pleure, la jeune louve ne voulait pas gâcher la belle journée de son ami et c'est ce quelle venait de faire elle se senti coupable et s'en voulais beaucoup. De plus la douleur qu'elle ressentait n'allait pas arranger la situation. Elle pensait :  "Pourquoi je suis si maladroite. Je viens di gâcher sa journée. Je ne suis qu'une empoter bonne a rien."

Vaillamment, la jeune femelle voulu se relever, mais elle ne tenait pas sur ses pattes. Sa patte arrière semblait ne plus vouloir la porter. Dès qu'elle s'appuyait dessus, du liquide rouge, comme le sang des proies, sortait et salissait ses poils blancs et verts. Voyant qu'elle ne pourrait pas se déplacer correctement, elle me regarda d'un air triste et me dit :

<< - Désolée mais je crois que l'on va devoir s'arrêter la. Je voulais pas me blesser pardonne moi>>

Je n'eus pas le temps de rajouter quelque chose. Elle se leva et claudiqua sur quelques pas avant de s'arrêter. Je la rejoignis en quelques foulées tandis qu'elle gémissait. J'étais moi aussi très triste. J'avais dis que je la protégerai, mais je n'avais rien pu faire pour éviter cette blessure. Si seulement je n'avais pas eu l'idée de cette course stupide. Elle serait toujours en forme pour se balader avec moi.

Je lui donnais un coup de museau amical, même si mes yeux reflétaient ma peine.

« Tout est de ma faute ! Je n'aurai jamais du te dire de faire la course dans cet endroit que je ne connais pas ! Tu sais, ça aurait pu être moi, le blessé. J'aurai du te protéger, je suis désolé. »

Je retenais moi aussi mes larmes, et j'avalais le gémissement et la boule que j'avais dans la gorge, ma boule de tristesse. Il fallait mettre Mickaela à l'abri tout de suite dans sa tanière. Si je n'avais pas pu la protéger contre la blessure, je devais au moins la protéger de ce qui pourrait lui arriver à cause de sa blessure.

Je touchais son épaule avec la mienne.

« Appuie toi sur moi. Je te guiderai vers ta tanière. Je sais comment retrouver le chemin, il suffit de suivre nos odeurs. Et ne t'inquiètes pas, je veillerai à ce qui ne t'arrive rien. »

Lorsque je sentis une partie de son poids sur mes épaules, la douleur se fit sentir, en même temps que la fatigue dans mes pattes, mais je ne renoncerai pas. A petits pas, au rythme de mon amie, mais aussi au mien, nous remontâmes tant bien que mal la colline que nous avions descendu tout à l'heure et prîmes la direction du chemin du retour.

[Je pense que c'est ma dernière réponse pour moi, je ne vois pas d'autres choses à ajouter!]

Le petit loup me réconforta et me guida grâce a nos odeur vers ma tanière. Il me demanda de m'appuie sur lui ce que je fit je vit bien qu'il était fatiguer mais je ne dis rien. Je regretter ce qui se passer. On n'avancer lentement a causse de notre fatigue et de ma blessure. J'espère juste qu'on se fasse pas attaquer au chemin du retour. Au loin j'aperçu ma tanière avec ma mère qui m'attendais. Je remercia mon ami de m'avoir accompagner et parti en direction de ma tanière.
Ma mère << Ho je vois que tu t'es fait un ami c'est bien ma chérie >> elle regarda ma blessure et la lécha
Ma mère << viens je vais te soigner je remercierait ton ami plus tard de t'avoir ramener >> je me colla a elle et me frotta contre elle. Je fit un signe de tête pour dire au revoir a mon ami puis je cria << A bientôt >>

spoile:

[Non, non, au contraire ça m'a beaucoup plus ]

[ ravi que sa t'es plus ]