Il est fort dangereux,
De sans s'en méfier prendre les chemins les plus tortueux.


Pourtant dans un paysage sombre et cendré,
Marche un loup brun aux yeux dorés.
Que cherche donc cet étrange étranger?
Qui dans le flot ardent de ses pensées, semble s'être égaré.

Il avance de sa démarche silencieuse
Sur son visage, une expression bien peu heureuse.
Mais qu'est il donc arrivé, à ses rêves d'enfant,
Ceux qu'il faisait lorsqu'il etait pourtant si innocent.
Mais Kosovo est un loup différent,
Qui ne peut que laisser méfiant, même jusqu'au plus puissant.

Autour de lui s'ammoncellent des morts,
Au moins, pensa t'il,ceux ci ne me causerons jamais tort.
Lui qui cherchait en cet instant une compagnie bien peu bavarde,
A l'image de ces funestes visages restés de marbre.

Ils ont été réduits au silence éternel,
Ainsi plus aucune lumiere,ne luira jamais dans leurs prunelles.
En ces macabres lieux il était déja bien tard,
L'heure pour le soleil d'éblouir de tout son art.
Hélas il ne saurait de sa divine lumiere resplendir en ces lieux,
Ces terres tristes qui n'ont jamais vu que des évenements si peu glorieux.

Soudain l'atmosphere figée fut déchirée par un effroyable rale,
Qui aurait pu faire frémir la lune si pale...
Si elle n'avait pas déja vu s'éteindre tant d'étoiles.

Oh salut toi ! Tu veux jouer ? On va jouer ! Tu vois c'est comme aux échecs, je suis le joueur et toi pion. Tu veux jouer ? Tu vois, c'est pas compliqué. Allez vas-y laisse toi tomber, j'te rattraperais, du moins j'essaierais. Faudra pas m'en vouloir de m'être décalé de deux centimètres de coté. Il neige mais j'ai chaud, pas toi ? Oh, non, toi, t'es comme les autres, c'est vrai t'es froid.

Tant pis, je veux jouer on va jouer. Vas-y met une patte devant et ainsi de suite, tu la connais la comptine, faut que j'te l'apprenne ? Très bien, si t'insiste, donne moi les reines. Ce que je fais ici ? Oh non, j'crois que t'as pas compris ! Aujourd'hui je pose les questions et tu subis l'action.

C'est le jeu du chasseur et du chassé, tu connais ? J'te laisse deviner quels rôles je nous ai distribué. Ce que tu peux être tendu mon chéri ! Dis-moi ? M'aurais-tu senti ? Mais oui ! Ça tu vois, c'est la partie que je préfère, celle ou t'as compris que t'es échecs et mat, celle où tu comprend que j'ai toujours eu deux coups d'avance. T'as vus ? Quand je m'élance, y a ton cœur qui danse. Allez ! Une dernière valse avec moi, suis mes pas.

Oh ! De la neige rouge ! T'as déjà vu ça toi ? Oh, mais non pardon, toi tu vois plus rien c'est vrai. C'est bon alors ? J'ai gagné, encore ? Le pire c'est qu'au matin tes camardes feront cette découverte macabre, c'est que bien que vous soyez tous les mêmes, il en manque un au réveil.

// Nuit Étoilés //


Le vent soufflait, dans le campement, je sentais le froid me parcourir. C'étais une journée sans envie de sourire, j'avais faim, tellement, je repensais sans cesse à mes idées, mais comment y remédier ? J'avais choisie d'être une traîtresse, alors le sort était contre moi... J'avais vue la lueur d'une fine tristesse, est-ce que j'avais fais le bon choix, chers étoiles ? La nuit sombre, et cachais mon jolie minois. La vie ne s'arrêterais donc jamais ? Mes yeux s’illuminèrent en regardant la toile. La Cascade était infinis et j'étais joncher sur la rive. J'aimerais revoir la haie. Elle était haute et divine. Rien ne pouvais la franchir ! Pourrais-je être un jour comme elle ? Telle une flamme éternel ? J'entendais doucement les bruits de la cascade de pain. Si je pouvais, après tout ça, retrouvé mon chemin. Avec aucun sang, et Clan. Maintenant il était trop tard, je devais regardé en avant !