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Dans le territoire de l'eau, parmis la vaste pleines se trouvaient bon nombres de tanières. Normal, vu que c'est le point de raliement du clan de l'eau. Dans l'une d'elle, une louve dormait profondément. Mais elle n'était pas seule, contre son ventre se trouvait un petit louveteau violet-rouge, relativement grand et musclé pour son age. Il avait presque un taille de petit adolescent, pourtant, il n'était pas bien vieux. Le soleil se levait tout juste, et les rares oiseaux, qui n'avaient pas quitter la région, commençaient à chanter, doucement, aiguaillant les coeurs du mieux qu'ils le pouvaient. Mais l'hiver, ils étaient moins nombreux, et donc, leurs voient étaient plus faibles, moins aiguaillantes qu'en printemps, ou en été... Le louveteau, bien au chaud contre le ventre de sa mère, ouvrit les yeux, et regarda, sans bouger, alentours. Rien, juste sa mère qui dormait. Il tenta de se lever, faisant le moina poaaible bouger sa mère. Il s'extirpa doucement de son cocon bien chaud, et réconfortant, et se dirigea vers la sortie, à pas de loup, très discrets. Il commençait tout juste à se dire qu'il allait réussir quand :



Il stoppa net tout mouvements, et se retourna vers sa mère. Elle était allongée, dans la même position, mais avait simplement ses yeux ouverts, révélant leur couleur topaze, braqués sur lui. Il s'assit, honteux de s'être fait prendre comme un débutant, ce qu'il n'était plus du tout, depuis le temps qu'il semait ses nourrices, et se mit à gratouillé la terre du sol de leur tanière du bout des griffes, baissant le regard. Brume, car il s'agit bien de l'alpha de l'eau, et de son fils unique, s'éclaircit la voix, dans l'impatience de l'attente d'une réponse :



Tenta-t-il avec un grand sourire et un regard doux. Sa mère sourit, mais pas pour les raisons qu'il pensait. Lui, espèrait avoir réussi à l'amadouer, et ainsi éviter une punition. Mais néanmoins, Brume n'ajouta rien de plus, elle lui fit simplement signe de revenir auprès d'elle. Il s'exécuta, peut enclin à fâcher sa maman. Il se blottit de nouveau contre elle, profitant de sa chaleur et incapable de se rendormir, il demanda :



Mais il savait que comme toujours, sa mère refuserait, car elle privilègiait cette Zarelle! Pff, celle-là, il ne pouvait vraiment plus la spporté. Elle lui volait sa mère, son futur poste d'alpha, ses futures terres, et en plus elle n'arrêtait pas d'essayer de lui faire de câlins, et des bisous. Bref, tout pour qu'il l'adore quoi. Elle finit par lui répondre, le sortant ainsi de ses pensées :



Il prit un air enjoué, pour faire plaisir à sa mère, il l'aimait trop pour lui faire de la peine, et cria que oui. Hé oui, ce petit savait déjà très bien jouer la comédie. Et c'est ainsi que Brume envoya un membre de sa garde personnelle chercher son oncle, et qu'elle l'entraîna à l'extérieur, s'asseyant à l'entrée de sa tanière. Bosco s'assit à coté d'elle, sagement, mais après quelques longues minutes, il n'y tint plus, et se mit à jouer avec la neige, entre les pattes de sa mère, les morillants parfois pour tenter de l'entraîner dans son jeu, mais elle ne lui accorda pas un regard. Il en fut chagriné, mais ne dit rien, et continua de jouer. Soudain, il prit un coup de pattes sur la tête, et releva la tête pour regarder sa mère. Son oncle arrivait, enfin. Sans un mot, Brume s'en alla, laissant son fils entre les pattes de son oncle. Enfin entre les pattes ne fut guère le mot approprier, vu qu'à peine Brume partie, il attrapa le loupiot dans ses crocs, par la peau du coup, et l'emmena. Bosco se débattit comme un beau diable, refusant d'être traité ainsi, comme un moins que rien, ignoré par tout le monde. Sa mère, il ne disait rien, il l'aimait trop pour cela, mais pour ce qui était des autres, hors de question de se laisser faire. Après un moment, il sentit la pression des crocs se resserré, et lui faire mal sur la peau de sa nuque. Il cessa de se débattre, cela lui faisant plus mal qu'autre chose, et laissa WaterBlade l'entraîner ou il le souhaitait, comme un petit baluchon. Enfin, après, ce qui parut à Bosco, son oncle le lâcha, et il attérit plutôt durement sur un monticule de neige. Ne s'y attendant pas, il ne trouva pas son équilibre, et roula en bas du monticule. Lorsqu'il se releva et revint près de son oncle, boudeur, il vit celui-ci sourire de toutes ses dents. Il ne s'intérrogea pas longtemps, et lui sauta dessus pour jouer, attaquant sa queue qui bougeait dans la neige :



Il continua de tenter d'attrapper la queue de son oncle, attendant une réponse.

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Alors que le petit loup lui sautait dessus, son oncle l'évita en baissant la tête. Mais le loupiot ne visait pas la tête, non, son objectif avait toujours été la queue qui tapotait la neige en signe d'agacement. C'était trèsa amusant pour lui. Car même s'il jouait les gros dur, et les brûtes, il restait un louveteau, qui avait besoin de tendresse et de jouer, de temps en temps. Tendresse que sa mère ne lui offrait que rarenment. Mais il ne lui en disait rien, et ne lui dirais sûrement jamais rien, il ne voulait pas la blesser. Il l'aimait trop pour ça, d'ailleurs, il en voulait à son père, car plusieurs fois, alors qu'il avait fuguer, il était tombé sur les limites des frontières entre la terre et l'eau, et il avait, plusieurs fois, son père en train de draguer, ou plus, d'autres louve. Il avait horreur de savoir cela, et que sa mère n'en sache rien, mais il refusait de la faire souffrir par cet aveu cruel. Soudain, Bosco remarqua un changement dans l'attitude de son oncle, les poils sur son échine se hérissèrent légèrement, il se demandait bien pourquoi. Il ne comprenait pas trop son oncle, un moment, il le traitait comme un moins que rien, la seconde après, il lui souriait et jouait avec lui, puis montrait à nouveau de signe d'agacement... Bosco jugea donc utile de s'éloigner un peu, et de laisser la queue de son oncle, avant qu'il ne lui saute dessus.



Bosco pencha la tête sur le coté, tentant de comprendre ce que son oncle venait de dire. Il dut retourner tout cela plusieurs foid dans sa tête, avant de finir par trouver un sens à peu près correct. Son oncle n'avait aucune envie de rester là, à rien faire, et il pensait que Bosco aussi, il lui proposait donc une balade, tout en l'avertissant qu'il n'était pas une nourrice, et que s'il s'élgarait, tant pis pour lui. Rien que par cette phrase, il dissuada le petit de semer son oncle. Car de un, il aimait bien son oncle, et il avait rarement l'occasion de passé une journée avec lui, de plus, il savait qu'il le rapporterai à sa mère, et que si elle l'avait flanquer avec son oncle, c'est parce qu'elle n'avait plus personne d'autre, et qu'elle serait furieuse, si lui non plus, ne voulait plus de son marmot. Son oncle se mit à se rouler dans la neige, Bosco pensant à un jeu, fit de même, mais lui, il s'y éternisa. Du moins, jusqu^'à ce qu'il sentit sur lui le regard du loup, il arrêta de se rouler, et leva la tête vers Water qui le regardait, non pas sévèrement, comme s'y attendait le petit loup, mais d'un regard dénué d'expression. Le loupiot se releva, et s'assit à son tour, dignement pour ensuite répondre à son oncle :



Il attendit ensuite que son oncle entame la route, pour ensuite le suivre, lui collant presque aux pattes. Car avec toute neige, son avancée était pénible, et il ne voulait pas devoir faire attendre son oncle, alors il décida de marcher dans ses traces, ce qui lui faciliterai grandement la tâche.