Dans un ciel ensoleillai, brillant sur les terres du clan de l'eau, la neige fondent petit a petit sous les lueurs de la boule brulante dans le ciel. Je marche d'un pas lent et décidé sur les terres de l'eau, je suis le bêta de l'eau et un père de famille comblé. Je marche près du ruisseau de la solitude, dire que cela est un lieu pour partager sa solitude avec l'eau... dire que cela est ici que j'ai rencontré ma tendre, une louve plein de force et remplit d'un amour pur, la mère de mes enfants et ma tendresse que j'aime plus que tout... aaaaah... que je t'aime ma Kasai, tu hante mes pensé depuis le premiers jour de notre rencontre, je me souviens qu'il neigé... qu'elle souvenir si proche a mon cœur dont je suis attaché et si loin pour mon esprits ainsi que le temps passé.

Que de souvenir, mais après la nostalgie il faut faire place a mon rôle, je suis attaché a cela, a un moment cela est devenue toute ma vie jusqu’à l'apparition de ma douce. Je marche le long de la rivière, on dis que tout les loups qui l'on suivie pour voir le bout ne sont jamais revenue, sont il mort? je n'ai pas envie d'aller vérifié, je n'ai pas peur, mais si on suivant la rivière on meurt, je ne veux pas laissé ma tribu, ni ma nouvelle apprentis que je forme pour être a la même place que moi, dans tout les clans il y a un minimum de deux bêta, rien de mieux qu'une apprentis a mes coté. Notre commandent a aussi repris de l'activité, cela fait plaisir a voir.

Je m'arrêta au bout d'un moment près de la rivière pour boire un peu, mes oreilles écoutant chaque bruit pour ne pas me laissé surprendre par un ennemis, j'entendais par d'ailleurs les chants des oiseaux qui fit que doucement son retour en sentent le printemps approché a petit pas, je leva la tête après avoir un peu bu, observent certain jeune oiseau volé près de la rivière qui est encore un peu gelé. Il sont si jeune encore, cela me rappelle un loup qui fit souffrir de pauvre poussin, cela était amusant comme je lui fis une leçon en y repensent, de pauvre oisillons mort par le froid au final, qu'elle tristesse de la nourriture gâcher par des êtres imbu d'eux même.

Je poussa un profond soupire, une faim me venus, je regarda a droite et a gauche, je sais que ici c'est un endroit fréquenté par les herbivores... je ne mis pas longtemps a trouvé un lapin venue boire c'est dernière goute d'eau car j'allais en faire mon repas, en temps que ancien chasseur je l'attraperai sans erreur, sans le laissé s’échapper. Je fis de pas lents vers l'animal innocent et inconscient de la fin de sa vie... je me prépara a courir, m'étendent tout le long de mon corps... je suis prêt, je fis un grognement sourd puis bondis sur le lapinou qui eux peur et essaye de détallé, je posa vivement la patte sur lui, un seul coup de croc au niveau du cou a suffis pour le tuer net... j'ai pas perdu la patte, j'en suis content. Je pus donc dégusté un repas tranquillement.

A la fin de cela je fis un grand sourire, je sentis une brise, je leva la tête en ferment les yeux, cela fait du bien. J'aime le froid après tout... un vrai bonheur, l'une des derniers brise de l'hiver, ma saison préféré. Après quelque seconde je sentis une odeur d'un loup, un de ma tribu, j’ouvrai les yeux près a le voir a tout moment arrivé. Je me demande bien qui cela pouvait être... cette odeur mes vachement familière... Mizu? je l'ai laissé a une nourrice cela peut pas être elle?...