J'avait êtes débordé depuis longtemps, Akio était venus me voir pour me dire de le rejoindre le lendemain devant la cascade de pain, je lui avait répondu que j'y serait naturellement. Après avoir soigné un jeune louveteau qui s'était blesser, j'était partie, j'avait naturellement prévenus les nourrices que j'allait quelque part et partait donc le cœur léger et heureuse de pouvoir être seule avec Akio : Sa fessait longtemps que sa ne nous étier pas arrivé.

Je trottinait donc direction la cascade de pain, la neige été toujours présente au sol mais un magnifique soleil dominait le ciel : merveilleux temps pour se rendez-vous : je trottinait calmement, j'apercevait quelque plantes que je ramassait au passage, je ne pouvait pas m'en empêcher, c'était plus fort que moi.

Une silhouette blanche et noirs fessait les cents pas devant la cascade, je pouvait le reconnaitre entre mille, c'était lui, le seul qui réussissait a faire battre mon cœur, a m'évader malgré se temps :

-Ichina !

Je lui souriait, cela fessait tellement longtemps qu'on c'était pas vue seul a seule :

- Akio ! Comment tu va ?

Je m'approchait de lui et lui afficha un second sourire (enfin l'autre n'avait pas quitter mon visage) Je remuait ma queue toute touffue

Moi ? Très bien.

Je lui souriait, bien entendus qu'il allait bien, je remuait a grande queue brune, j'adorait le pelage d'Akio, il était tellement beau et avait un caractere magnifique, gentil comme un agneau, enfin pour moi.

Il se mit a avançait m'invitant a le suivre se que je fis avec le sourire, j'était tellement heureuse de le revoir, je me mit a coté de lui et commença a marcher a coté de lui, savourant sa presence, comme on savoure une biche tellement attendus, je le regarda:

-J’aimerais heu...que l'on parle un peu...

Il avait prononcer ces mots quelque peu gêner, je lui sourit, il pouvait me dire ce qu'il voulait, je lui fessait absolument confiance, j'espérer seulement qu'il me disent qu'il me quitter :

-Akio tu sais très bien que tu peut tout me dire et je serait heureuse qu'on parle, sa fait tellement longtemps qu'on ne sais pas vue !

Je lui sourit et me serra contre lui sans toute fois cesser de marcher, je colla ma tête a sa fourrure, il m'avait tellement manqué

-Voilà, Ichina, on ne c'est plus vu beaucoup depuis plusieurs temps...et j'en ai beaucoup vu, je t'assure !

On marcher en rythme, j'était coller a lui, on senter bien que le printemps n'allait plus tarder, quelques colonne de glaces commencée a se vidée de leur eau :

-Oui ces vrai que sa fait longtemps qu'on ne s'est plus beaucoup vue, mais entre mon "travail" de guérisseuse, avec les truffe qui coules et les maladies de l'hiver, et entre mon "travail" de nourrice je n'est pas eu beaucoup de temps pour moi.

Je regardait autour de moi, nous arrivions au niveau de la cascade, on niveau ou l'eau rencontrez le sorte de petit lac qui s'était crée en bas, un arbre ou plutôt un sapin se trouvait a coté je montras de la patte l'arbre a Akio :

-Cette arbre me semble parfait pour que l'on s'y asseoir, nous seront au moins caché du soleil et en même temps tranquille quand dit-tu?

Sans attendre sa réponse j'alla m'asseoir sous l'arbres je ne sais pas si Akio me suivait je tourna la tête vers lui et lui sourit

Nous tombions dans un éclat de rire, tout sa m'avait bien manqué, les rires de Akio, ces moments d'intimider ou nous étions seules, tout sa m'avait manquez, alors que je lui mordiller une oreille :

- Alors de quoi voulait tu me parlez mon chère petit ?

Je regarder Akio, il était magnifique et un grand élan d'amour avait grandit en moi, je l'aimait et j'avait envers lui une grande confiance, je lui sauta dessus je l'aimait, et il m'aimait, c'était tout ce qu'il comptait

Je fit un sourir rayonnant à Akio lorsqu'il me dit qu'il me cachez quelque chose, je lisha la joue a Akio :

- Oh rien de bien beau, il y a des loups affamés, des louveteaux en malnutrition : puis je rajouta en rigolant : et un certain loup du feu, Blackfury qui ne fait que de se battre. *

Je m'ébroua en regardant le ciel, puis regardant mon loup, je lui fit un sourir, je l'aimait plus que tout, c'était l'être qui mettait le plus chère sans contait mes deux louveteaux. Se qui m'inquieter le plus était été l'odeur d'un combat, d'un grand changement qui allait avoir lieur, je ne voulait pas dire mes craintes à Akio :

- Et du coté des guerriers ?