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 ««Que de fois nous mourons de notre propre peur de mourir . »» (Mort de Waterblade)

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««Que de fois nous mourons de notre propre peur de mourir . »» (Mort de Waterblade) Empty
MessageSujet: ««Que de fois nous mourons de notre propre peur de mourir . »» (Mort de Waterblade) ««Que de fois nous mourons de notre propre peur de mourir . »» (Mort de Waterblade) Icon_minitimeDim 25 Mai - 2:52

De jours en jours , mon parcours .
Longtemps avant moi le pèlerinage .
De nuit en nuit , mon voyage .
Les histoires qui ne reviendront jamais .

Code de couleur:
Note à prendre. a écrit:
Brume...Bosco (si il est de nouveaux joué...je me suis permis de vous faire parler un peu, qu'un peu...mais si vous voulez intervenir, je ne vous l'interdit pas et si les paroles ne vous va pas également. Voilà...J'ai tué Waterblade et je vous jure que j'ai pleurer beaucoup beaucoup beaucoup...Vous allez tellement me manquer ma gang de fou.
Je ne veux pas alourdir ceci, parce j'ai mal à la main, à cause de mon doigt cassé et surtout, après ces 2 000 mots. xDD Je vous aimes. <3 :')
Généralement, la peur viens et nait de ce qu’on ne comprends pas. On n’éprouve bien souvent une affreuse convulsion de nôtre âme qui nous ronge les os et nous pétrifie la chair, nous laissant droit sur place quand on est confronté à quelque chose d’horrible. Parfois, c’est par pur inquiétude, d’autre fois par pur incompréhension. Mais à quand, à partir de qu’elle limite l’inquiétude deviens une véritable peur ? Moi, je le sais. J’ai ressentie celle-ci dans toute son horreur, et pour une chose si simple, que j’ose à peine le dire. Je l’ai sentie qui s’incrustait en moi comme les ombres sur les arbres. Je l’ai vue qui m’attirait dans ses bras alors qu’elle m’attirait loin de tout ce que j’aimais, tout ce que je n’avais jamais réellement eu, dans ma vie précédente. Elle m’arrachait avec violence, les deux seules choses pour qui j’avais encore cette vieille envie de me battre en vieux soldat contre ceux qui nous menaçait et qui les menacera encore. Je ne serai bientôt plus là pour les protéger. J’avais échouer et cela avec brio. Je crois que, même mort, je ne me le pardonnerai jamais. Je commence à avoir froid. S’aillait, c’est donc ça la mort ? Une sale ambiance de froideur, de douleur et de souvenirs effacé ? Enfin…je crois que je m’y était toujours préparé. Oui. Je m’y était toujours attendue. J’avais attendue ce dernier combat avec tellement d’impatience qu’aujourd’hui, alors que j’avais toujours cherchez à le démystifier, à le décortiquer, en espérant le comprendre, j’avais de la difficulté à le saisir, alors qu’il était à bout de croc. Si seulement l’eau qui tombe en ce moment de ces yeux pouvait envoyer tous mes remords au loin avant que je meurs, comme la pluie chasse au loin le sang, je me serais sentit un peu mieux. Un peu plus calme.

Je suis désoler.
J’ai échoué.

****

Comme tous les jours depuis l’arrivé du printemps, la température était catastrophique. Les tremblements de terre devenait de plus en plus violent au Sud, les inondations de plus en plus violente. La plupart des nids des rivières n’existait plus, rapetissant considérablement l’espace dont nous avions besoin pour vivre. Notre territoire avait également été anéantie par les tornades. Nos tanières, inondés avait tué beaucoup des nôtres pendant les nuits froides et glaciales qui nous rappelait l’hiver. C’était la MERDE, laissez moi vous le dire. Nous n’étions plus qu’un poignée encore vivant ! Heureusement, malgré toute cette merde, toute cette horreur, quelques-uns de nos éclaireurs et sentinelle avait réussies à retrouver le gibier qui c’était enfuie des les premières catastrophe naturelle. Ils s’étaient réfugiés dans une gorge assez profonde qui avait, jusqu’alors passez inaperçue. En fait, la gorge c’était créez suite au tremblement de terre et au violente crue des eaux, créant une énorme vallée , qui était parsemé d’un long ruisseau, celui-ci ciselant la vallée en deux. C’était comme un cadeaux du ciel. Affamé et éblouit, nous avons chassés pendant des heures entière, ramenant en alternance des proies à la meute. Tout le monde avait réussie à manger à leur faim et il en restait encore beaucoup, pour les journées à venir. Repus, j’avais décidé de reprendre un peu les rênes des guerriers restants. Ma place de second beta, au côté de Brume avait changer bien des choses. Cela ne me plaisait pas autant qu’on aurait pu le croire car j’avais toujours été le dernier en ligne, calé dans l’ombre, à m’entrainer pour une vangeance qui me brulait, qui m’animait et qui avait finalement tombé dans l’oublie. Peut-être que c’était mieux comme ça finalement. Certain événement c’était passez et avait changer le cours des choses que j’avais voulue réaliser et je ne comptais pas y retourner.

M’enfin…aujourd’hui, j’avais pris congé, pour relaxer un peu et quoi de mieux que de sillonner les limites de notre territoire. Les deux pattes dans l’eau, je repensais à tout ce qui m’était arriver dans ma vie. Me laissant transporter par le clapotis de mes pattes dans la terre meuble, ma tête semblait légerte. À bien y penser, je crois que je pouvais dire que j’étais heureux. J’avais une vie assez ordinaire, mais qui me procurais un calme inouïe. Une louve que j’aimais, un neveux un peu embêtant, mais assez marrant et peut-être même, ce qu’on pouvait appeler ‘d’ami’. La meute me respectait à nouveaux, depuis que j’avais été gradé beta. Si mère nature aurait été plus clémente, tout aurait été plus simple. D’ailleurs, en parlant de Brume et Bosco, j’avais à les rencontrer près de la rivière, afin de relaxer en…famille. Bosco nous avait un peu achaler pour y aller et comme Brume en avait un peu marre de toute la pression des dernières semaines avait été plutôt soulager qu’elle lui propose cette sortie, loin de la meute et loin de tous les problèmes. Nous avions laissez la meute dans les pattes de Darkavinge et de Kerios et nous étions partit.
Au bout d’un moment, je ne trouva rien, n’y âme, ni odeur qui aurait pu me laisser croire que cet imbécile d’espion de ses putain de mangeur de merde de l’air c’était aventurer dans notre territoire et qu’il aurait attaqué les deux seuls personnes qui comptait le plus pour moi. Si j’avais su.

J’avais tout de même continuer mon chemin en direction de la rivière en augmentant le pas pour les retrouver plus vite. J’était si presser que je termina les derniers mètre à la course lorsque la pâleur violette du pelage de Brume apparue dans mon champ de vision. Heureux de la voir, je sauta vers eux dans un bon gracieux et vint glisser mon museau dans le coup de Brume avec tendresse et impatience. J’inspira doucement son odeur avant de bousculer un peu Bosco qui c’était interposer entre nous deux en marmonnant que sa allait maintenant, que je n’était pas obliger de lui sauter dessus pour la saluer.

-Roh tait toi un peu et arrête de faire ta farouche Boscotte ou c’est à toi que je donnerai ses lèches et je suis pas sur que t’es VRAIMENT envie que je te fasse sub..
-Non, en effet, ça va. Gardez ça pour vous, mais calmez vous, pour une fois.
-Pour une fois ? Parce qu’on fait toujours ça?
-Non, mais c’est déjà trop…

Ah décidément, il n’avait pas changer et il retenait très bien ce caractère de ses deux parents. Ce petit aurait de l’avenir. Mais si le destin avait été clément une seule fois dans ma vie, ce n’était pas pour l’être aujourd’hui. Tout aurait été tranquille si ce stupide espion de l’air ne c’était pas attaquer à Bosco qui essayait de pêcher dans la rivière. Il avait essayer de le pousser dans le courant et de le noyer. À peine l’odeur apparue dans mes narines, j’avais bondit sur mes pattes, ordonnant à Brume de rester en retrait et de surveillez ses arrières et je m’était précipiter vers l’intrus, toute griffe et crocs dehors m’enivrant complètement d’une Brume opaque.

Le combat était commencer.

Il ne me reste que très peu d’énergie pour vous compter tout ce qui est arrivé dans les détails, mais le combat avait été long. Nous nous étions tous les deux blesser plutôt gravement, mais j’avais été stupide. Je m’étais retourné vers Bosco et Brume pour savoir si ils étaient correcte, si Bosco allait bien et ce connard en avait profitez pour m’attaquer sous la gorge, en me renversant. J’ai été stupide et j’en ai payé le prix. Mon corps se mourrait. Je sentais la mort m’envahir avec une tel lenteur….Heureusement, j’avais réussie à recouvrir une dernière dose d’énergie et avec cette impression de lassée, mes crocs était tomber sur sa gorge, que j’avais déchiré dans tous les sens. J’était maintenant complètement vidé d’énergie et je baignait dans du sang. Le mien et le siens.
Ma respiration était saccadé. Chaque respiration résonnait comme un râle dans le fond de ma gorge et s’atténuait au doux chant du ruissellement de l’eau de la rivière qui coulait derrière nous. Cela me fit même sourire, quand j’y pense..C’était à croire que la nature elle-même avait envie d’atténuer un maximum le bruit que faisait la mort sur mon corps et de rendre le tout moins horrible, plus chaleureux et calme, à son effigie, quoi ! Écarquillant un sourire douloureux, je tourna la tête sur le côté, vers Brume et Bosco qui c’était approché à la course, Bosco éloignant le cadavre de mon bourreau plus loin avec violence. Je voyait, dans leur yeux, une lueur que je n’avais encore jusqu’ici jamais entrevue dans les yeux de personne, même dans ceux dont la vengeance les faisait vivre, littéralement. Non..cette lueur était différente. C’était le fruit d’un chaos, d’un amour et d’un hasard inespéré. C’était tout ce dont je n’avais jamais eu droit. Du moins, assez récent pour que je puisse m’en souvenir. C’était l’amour d’une famille, l’amour pour un parrain, pour un amant, pour un ami, pour un guerrier, pour la vie. À cette seule pensé, mon cœur sembla bien lourd, pour tout vous dire. Je savais que ce soir, bien avant que demain ne vienne, je savais que j’allais mourir. Que la mort allait finir par mettre fin à ce moment, laissant le temps faire de mon corps une chose qui ferait beaucoup trop mal à regarder, qui serait douloureux et infecte au seul regard, à la seul pensé.

-Je..
-Tait toi espèce de gros imbécile. Tu va mourir alors économise ton énergie…
-Hmr…Merci d'me traiter de gros...

-Ferme la.dit Bosco en tournant la tête, trouvant que mon sens de l'humour était très mal choisie.

Je voulue tenter de me lever, pour sentir leur chaleur une dernière fois, leur odeur, au lieu de celle du sang qui couvrait tout mon corps, mon pelage et qui dénaturait toute les odeurs environnante, toute celle qui m’était précieuse et réconfortante, qui retenait un souvenir violent. Un précieux souvenir.

Trop faible, je retomba au sol, en grognant de douleur, mon corps se contractant avec violence, ensuivie de violent spasme. Mes pattes essayait d’agripper la terre, mais celle-ci était trop mole et glissait, rendait mes plaies encore plus douloureuse.

-Ce soir..avant que le temps me prenne, avant que ce jour ne vienne, laisse moi vous dire que je vous aime une dernière fois…Ne laissez jamais le doute vous prendre à savoir si je vous abandonne. Je se….serai toujours là.*Un nouveaux spasme m’arrêta violement avant que je trouve la force de continuer.* Je n’ai jamais cessez de vous aimer, dès que vous êtes entrez dans…dans ma vie. Vous serez à l’intérieur de moi, comme une maladie. Je ne vous oublierai jamais vous deux..Toi, p’tite tête….prends soin de ta mère et ne lui laisse jamais rien lui arriver. J’peux compter sur toi, hein, petit?

-Oncle Watty…
-Est-ce que je peux compter sur toi ?
-Oui. Tu peux compter sur moi.
-Bien…Brume ?

-Hm ? grogna t’elle, ses yeux d’un mauve qui avait toujours  briller d’une étincelle que je n’avais jamais réussie à déceler jusqu’à ce jour, m’apaisèrent, mais me brisèrent également le cœur en mille miette. Je la laissait tomber….je la laissait seule. J’avais échouer et je laissait passez la femme qui m’avait sauvé la vie.*

-Je t’aime Brume..pardonne moi, je t’en pris. Ça f’sait un bail que j’avais l’mal de…v-vivre et t'a réussie à me sortir de là. *Je toussa de façons plutôt violente, laissant du sang s’écouler de ma gueule et s’évanouir dans un coulis de bave et d’eau.*Je t’ai toujours aimé, même si je n’arrivais pas à te le dire..Tu va me manquer. J’aimerais te dire que ça va aller, mais sérieux…ça ne se peux pas. Je ne peux pas.

-Water..
-Venez ici…

Ils s’avancèrent tous les deux vers moi et se collèrent à moi, en essayant de ne pas trop me blesser, chose qu’ils ne purent pas faire…Ma douleur était indépassable. Écarquillant les yeux, je cherchais maintenant mon souffle. Ma vue s’embrouillait et leur dernier souvenir commençait à s’incruster en moi tout en s’effaçant.

-Je ne veux pas partir et que vous pensiez que je ne vous aimais pas…vous êtes tout ce que j’ai toujours voulue..Je m’excuse. Je vous attendrai toujours et oublier tout ce qui pourrait nous séparer, je ne serai jamais très loin.

Je pris ce qu’il me restait de force et leva la tête avec lenteur, leur faisant un dernier coup de langue, comme un dernier geste protecteur et affectueux et me coucha, laissant mes derniers instants de vie me torturé tous les membres et laissant la mort s’avancer vers moi. J’allais enfin retrouver mes parents.

Toute cette attente était enfin terminé. Un dernier souffle et dans une douleur immense, mon cœur poussa un dernier battement et s’éteignit. J’eu juste le temps, entre un crachas de sang, de larme et de tremblement de glisser une dernière phrase.

-Prenez mon collier..il vous permettra de me revoir trois fois..Je vous aiii…..

Le voilà…le voile venait de me prendre. Je tourna les yeux vers eux, pour
m’imprégner une dernière fois de leur souvenirs, le cœur battant la chamade, du stress de ne plus jamais les revoir et de la peur en elle-même, qui m’avait longuement effrayé et trainer dans l’incompréhension puis mon corps se relâcha et mes yeux se couvrirent. Juste avant de partir, je pus entendre, dans un murmure, éloignés, presque imperceptible…Brume me dire Je t’aime aussi. Comme un dernier pas vers la mort.

C’était terminé.

Je suis désoler…
J’ai échoué.

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