« Aha ! » Exclama Verseau en sortant le museau du trou dans les parois de la tanière. Entre ses crocs se trouvé une petite plante séché qui semblait y avoir été bien longtemps. Sur ses narines étaient des résidus accumulés de toiles d’araignées et il souffla fortement pour les virés. Il bondit en arrière et alla donner les plantes à son collègue de travail. Il lui donna et s’asseya sur l’arrière train, utilisant des motions de pattes pour expliquer l’utilisation très spécifique. Puis il entendit un petit cri de :

« Verseau ! Vite ! » Verseau se leva, glissa contre la terre et se dépêcha. Il entendit déjà les souffles coupés, les exclamations et vit le cercle qui clairement entouré le pauvre loup encombré. Il sortit ses ailes et les utilisa pour pousser tout le monde qui le gênait. Un grand coup de vent et ils étaient tous, ou quasiment, partis. Il se dépêcha vers le loup, qui semblait clairement s’étouffer sur quelque chose. Oh merde, lâcha-t-il. Il utilisa rapidement ses ailes pour retourner le loup sur le dos, qui toussait et semblait le plus vouloir être sur le ventre, et monta sur lui, posant les pattes avant sur sa cage toraxique et se mit à pousser fortement, plusieurs fois de la filer. Un deux trois quatre. Un deux trois quatre. Un deux tro- plop. Et d’un coup la respiration lui revint.

Les minutes qui suivirent étaient une grande vague de compliments et de ô mon dieu Rave ! Tu es un héros. Verseau lui-même prit le tout avec un sourire poli et rerentrait dans la taverne. Il reposa son postérieur au sol en face de son collègue et continua ses explications comme s’il n’avait jamais été coupé. Il avait presque fini qu’un appel sonna de nouveau :

« Rave ! Une urgence ! » Il prit le temps de soupirer puis se releva de nouveau pour courir vers l’extérieur. Une vague odeur de sang arriva à son museau et il se dépêcha plus encore. Il y avait un nouveau cercle, cette fois ci pas autour le loup (Louve ? Il ne savait pas) mais plutôt en dessous pour le/la porter. Verseau ordonna rapidement :

« Dans la taverne vite » Il entra lui-même avant et appela « Aller faites place ! Et que sa saute ! »

Tout le monde l’obéit, et la louve fût poser au sol. Verseau regarda rapidement et grimaça. Elle était encore réveillée. Il se pencha sur elle et demanda rapidement à un loup à coté qu’elle était son nom. Il la regarda et appela :

« Nazama ? Tu m’entends ? C’est Rave »

Le soleil venait juste de se lever que les chasseurs se mit en marche. Avant que la nuit tombe, un troupeau de cerf avait était aperçu dans une plaines de la forêt verdoyante, et cela il ne pouvait pas rater. Les meilleurs chasseurs avait étaient appeler, tous avec des pouvoirs distinct qui pouvait aider à la capture des animaux, et la louve blanche et noir en faisait partis. Et ce n'était pas pour son gré, elle n'avait pas eu le choix. Ils marchait donc depuis a peu prêt un quart d'heure, quand le maître de la marche s'avança vers elle en souriant, la louve secoua la tête en soupirant : rien ne valait cette air amical. Attendant que le loup arrive, Nazama regardait autour d'elle :

- Nazama, utilise ton pouvoir pour les voire.

S’exécutant, les pupilles de la louve se confondis. Elle pouvait ainsi voir tout, elle voyait le moindre animal qui allait se cacher dans les fourrés, les plantes, puis une forme, qui se révélas être un troupeau. Désactivant son pouvoir elle regarda le loup qui était a cotés de lui :

- C'est bon, on y arrive.

Et elle avait raison, le troupeau de cerfs se révéla a leurs yeux très vites. Il y avait surement plus de 10 bêtes, mal et femelles confondus, des cris de nouveaux née appelant leurs rations de laits se faisait entendre. Alors que se tournant vers un jeune loup qui commençait sa formation, une techniques se fit faire, et tous se mit en place le moment venues. Il fallait obligés les cerfs à se mettre en cercle au milieux, la plupart s'étoufferont entre eux, le restes du travaille seras facile. Quand le signal se fit, Nazama bandas ses muscles et commença a courire vers la proie qu'elle s'était fête : une jeune biche qui semblait très apeuré (en même temps vue la situations). Sautant à sa gorge, elle l'a plaqua rapidement au sol en enfonçant ses crocs encore plus profond. Lorsque qu'un cris se fit entendre :

- Nazama !! Attention !!

A peine eu-t'elle le temps de tourner la tête qu'une douleur aiguë lui pris le ventre, sentant les bois de l'animal s'enfonçait dans sa chaire. Malheureusement elle était maigre, et la seul peur qu'elle avait s'était que sa avait percer l'un de ses organes. L'animal fut vite neutralisée, alors que Nazama était allongés sur le flanc, le sang tachant son pelage. Elle ne repris connaissance qu'au moment au ils arrivaient au tanières, et au moment ou elle vit un guérisseur du nom de Rave qu'il lui parlait. Ouvrant faiblement les yeux, elle essaya de se relever et regarda le loup :

- Oui ... Dite le moi, je vais mourir ?

Déjà elle est consciente, Verseau était ravi de cela. Elle semblait reconnaitre son entourage et ses blessures donc Rave avait de l’espoir pour elle. Il tourna autour d’elle pour voir les blessures et grimaça quand il vit son abdomen. Il fronça simplement à la tête. Ce n’est pas un loup, pas un félin. Pas de griffes, ni de crocs. C’était autre chose mais il n’arrivait pas à voir quoi. Il ramona ses palourdes à chercher entre ses affaires, revenant à ses cotés il posa une aile sur la plaie pour arrêter l’hémorragie au mieux. Il la regarda et demanda :

« Nazama ? Tu peux me décrire ce qu’il sait passer ? Et où tu as mal ? Est-ce que c’est seulement à ton abdomen ? » Il enleva son aile et regarda. Son cerveau rentra en marche. Hémorragie interne, rupture du pancréas, relégation d’exocrine et endocrine, globules dans les cavités de la poche stomacale. Et merde. Il se mit à coté d’elle, la patte sur la plaie et attendit la réponse de la louve.

Chaque fois qu'elle faisait une mouvement, la douleur était la. Elle pouvait à peine clignez les yeux sans avoir mal. Son souffle se faisait cours, elle ne pouvait presque pas respirait correctement. Elle tournas des yeux vitreux vers le guérisseur, prenant doucement le souffle pour essayer de parler. Elle voulais voir ce qu'elle avait, elle sentait encore le sang essayait de sortir de la blessure, elle voulait repartir chasser, reprendre sa vie comme si de rien n'était. Levant un peu sa tête, la douleur repris, elle grogna et laissa tomber sur la roche du sol. Elle regardait juste le loup, faisant abstraction de toute chose autour d'elle, ne faisant pas attention aux autres loups :

- Un cerf ... ma fonçais dessus ... J'ai mal ... de partout.

A chaque fois qu'elle parlait, elle devait faire une pause, pour reprendre de la force. Elle resta ainsi, à fixer le loup, attendant une chose : qu'il le soigne.