| Sujet: Quand la peur te rattrape [libre] Jeu 3 Mai - 0:05 | |
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Brume Quand la peur te rattrape La nuit était noire. Aucune étoiles scintillais dans le ciel, aucun rayon de lune réussissais à transpercé le mure que formait les nuages. Un vent froid soufflais sur les terre d’Estryä balayent violement les particules de neige. Dans les tanières le froid était saisissent et fessais grelotter même les plus bravent. Brume dormais d’un sommeille mouvementé dans sa couchette. Les corbeaux volais de tout part et de tout les cotés d’un loup affolé. Le croisement rugueux de ces bêtes plumeuses glissait le sang de la pauvre bête. Il courait dans la neige sans se retourner. Sa course dans cette forêt obscure n’était pas sans obstacle et le loup trébuchait souvent mais il ne restait pas longtemps au même endroit.
Les corbeaux chargeaient le loup épuiser, par sa course et sa peur, lui arrachant sans le moindre remord des lambeaux de chaire. Le corps du loup tomba une fois de plus dans la neige glaciale. Des ombres aux yeux rouges entouraient maintenant le loup épuisé.
Celui-ci se positionna en mode de défende. Son cœur voulait sortir de sa poitrine. Une buée blanche sortait de la greule du canin à un rite saccadé. Les ombres se rapprochaient dangereusement du corps tremblent du loup.
Les bête au plumage noir ne calmais pas leur assauts et frappais le loup de plus belle. Comme si se combat n’était pas assez difficile à mener les ombres se jetèrent à leur tour sur l’animal ensanglanté. Des grognements de rage se fessais entendre dans la forêt obscure.
Quand les grognements et les croisements s’était estomper on pu entendre le corps du loup tombé au sol lourdement. La neige était souyer du sang de la pauvre bête. Celle-ci avait une respiration saccadée et ferma doucement les paupières dans un soupire.
Les nuages se dispensaires comme si la tempêté était fini. Les rayons de lune traversière l’obscurité de la forêt pour s’échouer sur le corps inerte du loup dévoilent ainsi son pelage couleur topaze… Brume se réveilla en nage. Son cœur se débâtait comme jamais dans sa poitrine. Elle avait les yeux grands ouverts et toute trace de sommeil était disparue. Malgré la température glaciale la chasseuse était en sueur. Elle se leva alors pour se dégourdie les pattes. La louve au pelage violet sortie de sa tanière. Elle regarda l’ensemble du campement. On aurait dit que tout était figé dans la glace. Brume tourna sa tête vers l’entré du campement une force étrange lui disais de sortir du camp. Elle laissa alors ses patte la guidé et marcha jusqu’à la vallée oublier. C’est coussinet était geler et la fessais terriblement souffrir mais au aurais dit que la louve était en transe elle s’arrêta finalement au milieu de la vallée.
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