Lightbrown marchait dans un ancien champ de bataille qui a eu plus d'une légende ,pour elle c’était comme un cimetière ,elle sentait les âmes de loups d'autre fois qui n'avait pas trouver la paix dans ce monde rempli de cruauté .Elle se sentait comme emporter par ce champ de bataille qui a plus de mille histoire de guerre qui elle sont rempli de haine et de férocité , le soleil commençait a se coucher ce soir c'est la pleine lune elle voulait voir un esprit peut être même ceux de ses parents et arrière grand parents.Dés que le soleil fut coucher un brouillard et le froid s'installa ,elle entendit mille et une voix a travers le brouillard un ombre noir , serait-ce un esprit ? ...

C'était une belle journée d'hiver. Bosco, fils de Brume avait, encore une fois, largué sa nourrice, et vadrouillait donc, encore, tout seul, sur le territoire de sa mère. Il savait bien que rien ne pourrait lui arriver, sa mère était alpha, personne n'oserait lui faire du mal, sans en subir le courroux de Brume. Ses pas le guidèrent dans une clairière sombre et emplie d'une brume opaque qui empêcher de voir plus loin que le bout de son museau. Mais le petit loup téméraire n'en avait que faire. Il voulait visité, et toujours découvrir plus que ce qu'il savait déjà, et ce n'est pas un peu de brume qui allait le stopper dans son initiative. Il est inutile de préciser que lorsque la nourrice irait rapporter à Brume qu'il avait encore trouver le moyen de lui échapper, elle serait furieuse. Mais, elle ne le restait jamais bien longtemps, car Bosco avait bien remarquer la lueur qui brillait dans ses yeux, lorsqu'elle le sermonnait. Oui, il était futé, intelligent, et rusé, et cela rendait sa mère fière de lui, ce qui était plus important à ses yeux, que n'importe quoi d'autres.

Le petit loupiot, courageux, et peut-être un peu maso sur les bords se promenait, tranquillement, observant ce qui l'entourait, du mieux qu'il le pouvait. Il voulait connaître chaque recoin du territoire dont il serait peut-être alpha un jour, à moins que Zarelle, cette ado sans cervelle, ne lui vole cet honneur. Oui, sans aucun doute, Bosco était jaloux de l'attention qu'accordait sa mère à cette Zarelle, mais de toute manière, il était jaloux de qui conque à qui elle accordait de l'attention, c'est à dire, presque tout le monde, étant donné que le rôle d'alpha est de protèger la meute et de veiller à ce que les membres s'en portent bien. Soudain, il aperçut une silhouette, alors qu'il ruminait à propos de Zarelle, des propos que sa mère n'aurait certainement jamais voulu entendre. Il s'arrêta, et s'approcha doucement, se terrant au sol, pour ne pas se faire voir. Une odeur lui vint aux narines, bien que jeunes, il savait dors et déjà reconnaître l'odeur de son clan, et cette odeur n'était pas celle qu'il connaissait. Elle ressemblait, lointainement, à celle de son père... Alors cette silhouette appartenait au clan de la terre. Bah, il ne risquait pas grand chose, son père était alpha du clan de la terre, si qui conque oserait lui faire du mal, il passerait un bien sale quart d'heure. Bien sur, personne n'avait jugé utile d'informé le petit que son père n'était plus alpha, et qu'il n'appartenait même plus au clan de la terre, peut-être. L'ancien alpha avait reprit sa place... Mais quoi qu'il en soit, cette louve, car c'était bien une femelle, était sur les terres de l'eau, elle n'avait donc aucun droit de se trouver là, et encore moins de lui faire du mal. Oui, il est jeune et sot, et ne sait pas encore que les loups qui s'aventure sur les terres qui ne leur appartiennent pas, n'en ont, souvent, rien à faire des règles, et des protocoles. C'est donc persuadé qu'il en avait légitimement le droit, qu'il sauta sur la louve, et lui attrappa la nuque, en crachant amérement :

— Que fais-tu ici, toi, étrangère à mon clan!

Bosco était grand et musclé, pour son âge. Hors, sans le voir, comme il en était le cas pour cette pauvre louve, il pouvait aisément passé pour un adolescent rebelle.

Lightbrown fut pris par un petit du clan de l'eau a ce qu'elle en souciait il devait être le fils de brume ,le petit cracha amèrement :

— Que fais-tu ici, toi, étrangère à mon clan!

N'importe quoi ,quelle gamin sans cervelle ! Pensa t-elle ,elle regarda le petit d'un regard froid et haineux pour lui faire peur ,elle se leva et montra ses crocs luisant au clair de lune .

-Je fais ce que je veut minus !

Railla-t-elle ,elle se leva et envoya le petit valser dans la prairie et puis elle rebroussa chemin ,elle entendait les voix des loup d'autre fois ,elle marcha de plus en plus vite la queue chassant l'air ,elle huma l'air le petit semblait un peu plus loin d'elle mais elle se doutait qu'il la suive comme tout les autres louveteaux dans son genre ,il son tenace et se la frime toujours qu'il essai de l'attaquer ou pas ,fils de Brume ou pas elle s'en contre fichait ,elle le frapperait a tout moment ne trouvant aucune sympathie pour lui .Elle renifla et vit un fantôme au loin et ouvra grand la bouche ...

Le petit loupiot la sentit bouger, comme un cheval fou qui refuse de porter son cavalier, et il fut ejecter de son dos. Il attérit contre un arbre, et sentit sa tête vriller, de l'intérieur. Il ne s'en formalisa pas outre mesure, et se remit d'aplombs très vite, suivant la louve qui s'enfuyait déjà. Trouillarde, encore une, tien. Bosco se mit à courir après la louve, de toute la vitesse que ses petites pattes le lui permettaient. Elle commençait à prendre de l'avance, mais le petit n'abandonnerai pas si facilement, il connaissait ce territoire, il y avait grandit, et l'avait explorer de font en comble. Il trouva donc son passage secret, sous les racines d'une abres, et sous la terre, la neige ne lui encombrant pas le passage, il alla beaucoup plus vite. et ressortit des racines d'un autres arbres, attérissant droit devant la louve, qui avait été ralentie pas la louve. Elle ouvrit grand la bouche en le voyant :

Oui oui, c'est bien moi, je suis de retour. Je connais ses terres comme le fond de mon oreilles, alors quitte les, ou je donne l'alerte générale, et tu seras bien vite encerclée, ma mère à horreur des intrus!

Le petit était la, devant elle, bien camper sur ses pattes, refusant de bouger, prêt à donner l'alerte.