Garder l'équilibre même surpris.[PV Nightmare]

Sa faisait un moment que j'errais dans cette forêt, je savais à peut prêt me retrouver en une trentaine de minutes quand j'étais complètement paumé. D'ailleurs vu que je prenais des chemins perdu je me retrouvais souvent dans des lieux tordu mais, cette fois j'avais fait fort. J'étais dans une pente glissante, deux arbres me retenait, en bas se trouvait de l'houx et en haut sa continuait de monter. Il m'était quasiment impossible d’accéder dans une zone moins glissante au risque de tomber et de me ramasser dans ces plantes.

J'observait les lieux, derrière moi il y avait plus de pierres et se n'était pas forcément mieux que la terre qui était recouverte d'une fine couche de neige. Je ne comptais pas rester là bloquer, j'étais arrivé dans ce lieu tordu en montant cette pente, d'ailleurs elle m'avait donnée du fil à retordre. Ma seule option était de la monter entièrement, au risque de glisser toute la pente et me prenant des arbres pour au final tomber dans des plantes dotées d'aiguilles. C'est sûr que en pensant de la sorte je n'allais pas réussir mais, j'avais beaucoup plus de chance de réussir à la monter que de la descendre sans la dévalée.

Je tourna la tête vers la montée qu'il me restait à franchir, je l'observais d'un air déterminé. Ce que j'avais déjà franchis m'avait fortement épuisé mais, je savais que je pouvais le faire. Il fallait avoir de bonnes prises sans glisser, en faisant des pauses pour rependre du souffle, avec cette technique je pouvais réussir. Je pris mon courage à deux pattes avant de courir poussant sur mes pattes, je montais la pente mais, glissa vite de quelques centimètres. J'avança difficilement en tentant tant bien que mal de ne pas dévalée toute cette pente. Je n'avais aucune envie de glisser après tout ces efforts, l'échec était, désormais, impensable.

Le temps paraissait beaucoup plus long que se qui ne l'était, je glissa à de nombreuses reprises et bloqua de nombreuses fois. Je fus enfin à quelques mètres d'un endroit plat en puisant les dernières forces qu'il me restait je pouvait l'atteindre en poussant sur mes pattes. C'est se que je fis mais alors que je montais les derniers mètres une silhouette apparue devant moi. Je m'arrêta en essayant de rester en équilibre, regardant se qu'allait faire le loup se dressant devant moi.

Je mettez réveiller assez tôt se matin, alors que le soleil pointait ses rayon sans chaleur sur la terre je partait déjà, hier soir, Itzala, une chasseuse de nos clan, nous avez ramenez de la viande, je n'y avait nullement touché car je préférez leurs laissait prendre des forces pendants que moi je chassais, aujourd'hui, malgré mon ventre creux je décida d'allez chasser. Avec mon sens de l'orientation magnifique ( pourris serais le mots parfait ) je marchez tranquillement. Alors que le soleil avait parcourir le quart de son chemin j'arriva, je ne sais comment, dans une forêt, pas une forêt avec le chemin tout tracez mais une forêt avec le soleil qui passe entre les feuilles des arbres : comme sa on dirait une forêt magique ha ! ha ! Attendez la suite : avec des lianes partout, les plante qui arrive en haut de mes pattes donc cet a dire, c'était a vrai dire une forêt avec l'air maléfique. Bref, ce n'est pas se qui m’arrêta.

J'allait plus profondément dans la forêt mais je m'en fichait bien, je marchais depuis pas mal de temps, quand un bruit me fit tournez la tête, d'un mouvement je colla mon ventre au sol et j'attrapa le campagnol assez facilement car ces petits et grosse bestioles n'étaient pas bien rapide, je l'avala un une seule bouché, j'huma l'air, le territoire du feu, ceci me mit le sourire au lèvre. Un autre bruit, comme si quelqu'un monter une pente caillouteuse me vint au oreille, d'un mouvement j'avança vers un endroit, au milieux, ou plutôt a une foulée de moi, un loup, noir, aussi maléfique que cette forêt. Il était noire, avec un œil rouge et un œil noirs j'afficha un grand sourire :

- Salut, besoin d'aide ?

Alors que j'étais entrain de lutter, forcer sur mes patte la louve afficha un large sourire me proposant son aide. Je ne répondit pas, concentré sur mes moindres pas, une fausse prise et je risquais de la dévalée entièrement. Je fis un pas puis un autre, tendis que montais lentement et difficilement une de mes pattes glissa. Une peur m'envahi, j'attrapa la louve pour me retenir et ne pas tomber mais, se ne fut que briser le peu d'équilibre qu'il me restait. J'entraîna la louve avec moi, malgré que je plantait mes griffes dans le sol sa ne m'aidais en rien, je ne ralentissais pas et sa me stoppais encore moins.

Dévalant la pente je me pris un des deux arbres, sa ne m'aida pas vraiment excepter à sentir une douleur sur l'intégralité de ma côte droite. Je ralentis juste un peu, et quelques secondes plus tard je sentis de petites aiguilles me pénétrée de partout. Je me releva difficilement en gémissant, la louve se trouvait à quelques mètres de moi, dans les houx. Même après l'avoir entraîner dans cette chute je ne comptais pas présenter mes excuses à une inconnue, elle ne les méritait pas.

-Je suppose que c'est trop tard pour m'aider maintenant.

Il avait l'air concentré sur ses pas, je ne dit mots et ne fit gestes, attendant qu'il sorte de ce faux pas tout seul. Tandis qu'il montait doucement et tranquillement, arrivé au bord de la corniche, sa patte glissa et il se tint a moi pour ne pas tomber, mais ce ne fut que pour brisé le peu d'équilibre qu'il veut et nous tombions.Alors qu'il accrochait la barrière je continuais a tomber, et pour essayer d'amortir ma chut, je me mit en diagonal (de profil quoi) et s'en voir l'arbre qui avait ses racines accroché au roche, je tapa dedans en plein fouer, l'une des branche de l'arbre racla tout le long de mon corps ( de ma patte avant a mon flan ) et je fini ma course a terre en roulez boulé.

-Je suppose que c'est trop tard pour m'aider maintenant.

Je me leva méchamment puis, m'approchant du loup,je colla mon museau sur le sien trés méchamment puis disant (ou hurlant plutot ) :

- Je t'es proposé de t'aider !! A la place de ne pas répondre répond non mais ! regarde ce que j'ai a cause de toi !!!

La louve se releva pour se précipiter vers moi, intuile de préciser l'expression qu'elle affichait sur son visage. L'inconnue se trouva le museau collé au mien rien qu'a voir l'expression que dégageait ses yeux on devinait facilement la rage qu'elle éprouvait pour moi. Elle me hurla dessus de façon à déchirer mes tympans.

-Je t'es proposé de t'aider !! A la place de ne pas répondre répond non mais ! regarde ce que j'ai a cause de toi !!!

Franchement, elle me perlait de son corps mais sérieux, je m'en fichais totalement c'était pas mon problème. Moi, j'étais bien couvert d'épines qui n'étaient pas agréables à sentir, je recula ma tête de la sienne sans pour autant faire un pas en arrière. C'était juste pour ne pas être collé par une louve qui était furieuse d'avoir dévalé toute une pente mais, malgré cela j'estimais que entre nous deux c'étais moi qui pouvais me plaindre. Je montais cette pente pour après la redescendre à cause d'un faux pas, je regarda autours de nous. Il y avait beaucoup plus d'arbres avec que quelques chemins sans épines qui était là. Je ne comptais pas rester très longtemps, j'avais à nouveau plusieurs choix : remonter là pente ou chercher un chemin pas trop tordu, sans trop d'obstacles affin de se sortir de cette galère.

-Je m'en fou de se que t'as ! J'ai passé des heures à escalader cette pente pour après qu'une louve me déconcentre et me fasse tomber !

-Je m'en fou de se que t'as ! J'ai passé des heures à escalader cette pente pour après qu'une louve me déconcentre et me fasse tomber !

Je me mit a grogne, puis sentant encore le feu je me calma, j'éter sur un territoire ennemis et je devais me faire petite, d'un mouvement de queue je fit envoler l'espoir de bagarre qui courrait entre moi et l'autre loup, puis couchant les oreille je regardas ma blessure puis commençant a grimper la pente pentu (non tu croit ) je me retourna vers le loup qui avait l'air décidé a restez la ou il était :

- Et ben y'a plus qu'a recommencer écoute si tu veut on peut le faire ensemble ?

La louve grogna de mécontentement, ma remarque ne l'avait pas laissé indifférente et j'aimais ça. J'avais l’impression de ne pas être ignoré, ce qui était mieux que d'être ignoré de tous. Cependant elle se calma peu après et commença à escalader la pente. Je la regarda, toujours épuisé par ma première montée, j'avais réussi à l'escalader presque entièrement et je pouvais le faire maintenant même malgré l'épuisement.

- Et ben y'a plus qu'a recommencer écoute si tu veut on peut le faire ensemble ?

Je ne répondit pas mais, j'accepta sa proposition en faisant un signe de tête. De toute façon je n'avais pas vraiment le choix car, après avoir regardé attentivement les lieux j'avais remarqué qu'il n'y avais pas de sentier libre de toutes épines. Je fis quelques pas en arrière et je courus en escaladant, forçant sur mes pattes et évitant de la glisser. Je me tenais aux côtés de la louve, heureusement qu'elle ne l'avait pas trop mal pris, on serais sans aucun doute encore à se disputer. Mes regard était déterminé, la moitié de la pente était déjà imposante, alors quand on arrive à la moitié et qu'on voit que sa continue ça peut décourager. Enfaîte quand on est en bas de la pente on vois au sommet qu'il y a une sorte de bordure à escalader et quand on la franchie, on voit qu'elle continue.

Tandis que j'escaladais la pente, je bloqua elle commençait à devenir beaucoup plus glissante avec rien de solide pour s'accrocher. La seule chose qu'on pouvait faire c'était d'enfoncer nos griffes dans la terre, forcer sur ses pattes et monter avec une grand détermination. Je respirais plus fortement qu'avant, j'avais eu la même respiration la première fois que je l'avais escaladée. J'examina le sol, il n'y avait vraiment rien le seul moyen était de forcer sur ses pattes. Mais on pouvait se décaler vers la gauche pour atteindre une arbre écroulé et ainsi passer en dessous, le mieux était d'aller vers l'arbre se qui me ferait aussi éviter la bordure. Je mis une patte en avant, puis une autres avec les autres qui suivaient, je glissais souvent mais, pas au point de dévaler la pente.

❝ Gradez l'équilibre même surpris❞

On a un petit problème

Alors que nous commencions a monter la deuxième partis de la pente, un bruit me vint au oreilles, un bruit sourd comme si des animaux nous courez après ou comme si un troupeau d'éléphante tapez tout en même temps au sol (même si j'en n'est jamais vu) des branches qui craque, des feuilles qui font du bruit ... je tourna ma tête et regardant derrière et se que je vis m'hérissa mes poils, un horde de biche et de jeunes cerf se mettez a courir vers nous, je tapota l'épaule du loup et lui montrant la harde qui arrivé vers nous lui dit :

- Sois on risque nos vis pour monter en haut soit on peut se cachez sous cette saillis!

Je lui montra de ma patte une sorte de saillis qui sortez de la parois faisant un sorte d'angle droit, malgré qu'on les manges les sabot était des armes redoutable pouvant tué des loups comme les blessez, la harde commencez juste la montez quand je m'avança vers la sailllis qui était a 10 mètre de moi et le loup

Alors que je montais la pente en examinant le sol affin de trouver les endroits moins glissant un bruit me vint aux oreilles. C'était des bruits de sabots se fracassant sur le sol, ils se rapprochèrent rapidement en devenant de plus en plus fort. Je sentis une patte sur mon épaule, comme pour regarder derrière moi, c'est ce que je fis. Une bande de cerfs, de biches et de quelques faons se ruaient vers nous, la peur était plus que présente dans leur yeux. Leur façon de courir était maladroite, ils se bousculait, certains tombaient se faisant piétiné par les autres affolés. J'eu un bug, mon corps refusait de bouger, je regardais la horde qui commençait déjà à monter forçant et ayant du mal à le faire, comme moi pour la première fois et aussi cette fois ci.

- Sois on risque nos vis pour monter en haut soit on peut se cachez sous cette saillis !

Ce fus la voix de la louve qui fis me ressaisir, je regarda les alentours rapidement, le temps pressait, où voyait-elle cette fichue saillis ? C'est le fait de ne pas la voir qui me fis regarder dans sa direction, après quelques bonnes minutes je vue l'endroit formant un angle droit. La louve se précipitait déjà dessus, il n'y avait pas le temps de traîner. Je pris mon courage sans penser à se qu'il se passerait si je glissais, je courus vers l'endroit qui pouvait nous servir de protection. Il n'était plus qu'a quelques mètre, ma patte arrière glissa, cette fois si je ne pouvais pas la dévaler. Mon coeur battait à deux cent à l'heure, je me rattrapa en mordant une racine qui était déjà prête à céder, dès que je l'attrapa.

Je me concentra pour me relever, asseyant de ne pas faire n'importe quoi pour autant. La horde s'approchait, je regarda l'arbre effondré, il était à ma droite. Si je passais en dessous de l'arbre je pouvais survivre et remonter plus facilement que si je partais de la saillis.
Une fois sur patte, je courus vers l'arbre, c'était complètement suicidaire de ma part mais, temps-pi. Au pire c'est moi qui me fais piétiné, personne n'en pleura.

code rp Citer le message
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❝ NOM DE VOTRE RP ICI ❞

une petite citation pour le fun ou le nom des participants

Alors que la harde commencer a monter la pente, le loup qui était avec moi ne me suivais pas, la cause ? Parce qu'il glissa ! Et pas qu'un peu ! Si bien que il ne pus revenir se cachez sous la saillis, d'un mouvement il s'approcha d'un arbre, un petit arbres qui, je le savait pas expérience, que les dur sabots des animaux qui monté la pente allez cassez très facilement :

- Cours !

J'avais lâché aussi facilement que lorsque on parle, je regardez les animaux, deux malheureux loups n'allez pas les affolé plus qu'ils ne l'étaient déjà, je ne voulais pas voir un loup mourir aussi tragiquement, d'un mouvement je sortis de ma cachette, , puis ne faisant pas attention au sabot des cerfs qui martelait le sol non loin de la, je voulait sauvez se loup, je glissa un peu de la saillis, voyant les cerfs roulez des yeux :

-Bouge toi ! cache toi vite mais pas sous cette arbre il est trop fragile pour les cerfs !

Je disait cela sans même sentir mes pattes glissait sur la saillis et sans même sentir même sentir mes pattes glisser dangereusement sur la saillis, tout se que je voulais c'était de ne pas voir des loups mourir ....

Le bruit des sabots touchants le sol régnait, on pouvait à peine s'entendre, les animaux s'approchaient dangereusement et cela avec une vitesse incroyable pour une pente si difficile à escalader. Ils devaient vraiment y avoir une raison, ce n'était surement pas comme si ils étaient chassés par une meute de loups, l'expression qu'ils avaient pouvait laisser deviner que c'était bien plus dangereux pour eux. Peut-être même pour nous, les sabots fracassant la terre fit trembler l'arbre, je tourna la tête pour le regarder presque entrain de s'écrouler.

Cours !

La louve sauta de son abri, ses pattes glissaient mais elle l'ignorait comme si ma vie comptait un minimum pour elle. Je dois avouer que je n'était pas indifférent à cela mais, je crois que je n'l'avouerai surement pas. Ce n'était pas dans ma nature mais, bon il faut encore survivre à cette horde de cerfs et surement à la chose qui les chasse. Le troupeau se rapprochait encore, ils étaient bientôt prêt à faire une barrière entre moi et la louve.

- Bouge toi ! cache toi vite mais pas sous cette arbre il est trop fragile pour les cerfs !

J'entendais ses mots sans comprendre leur sens, à cause du stress, de la peur, avant que je pus comprendre le sens de la phrase la horde était entrain de crée une barrière entre nous. Je regardais la scène sans que mon corps ne veulent réagir, c'est un craquement puissant qui me fis bouger. Je sentis une force sous moi, s'écrouler, avant de mourir écrasé je fis un bond en arrière. L'arbre était au sol sans moyen de passer en-dessous, j'était juste derrière en sentant chaque battements de mon coeur. J'étais stable, a peu près...

Les sabots des animaux formaient de la poussière qui s'élevait assez haut, il était impossible de voir à travers à cause de son épaisseur et les pattes de la horde. Si la louve noire ne s'avait pas approchée des cerfs, elle allait surement bien mais, je n'osais même pas imaginé se qui lui était arrivée si se n'était pas le cas.

❝ Gardez l'équilibre même surpris ❞

Rien de cassez ?

Alors que la horde commencez a faire barrière entre nous, je gémissait, en faite, se n'était pas vraiment les cerfs en eux même qui me faisait peur mais plutôt la créature qui les pourchassez, se que j'était sur, ce n'était pas des loups. Un grand cerf, avec des ramures magnifique me sortis de ma torpeur. Je fit un bond en arrière pour esquivez les autres cerfs qui suivait, la terre tremblait tout le long, je regardez avec frayeur les cerfs courir, d'un coup mon regard se porta a un bruit, un meuglement, j’espère de tout mon cœur que la créature n'avait pas attrapez un cerf, sinon elle serait trop proche de moi ou de l'autre loup, en parlant de lui ! Je ne savait pas si il était vivant, d'un mouvement j'hurla de toute mes force pour couvrir les martèlement des sabots. Second meuglement, un mouvement dans la horde de cerfs me fit regardez mieux, une biche, ou un cerf était tombé, surement en glissant, seulement, je le plaint ! Tombé au milieu de ses semblable et se faire écrasez par eux ! Bah rien que dit pensé sa me dégoutte!

Alors que les derniers cerfs passez, je m'approcha doucement de la biche qui était tombé parmi le vacarme des cerfs, elle ne ressemblait plus a rien, des traces de sabot était de partout, elle saignez abondamment, puis voyant le loup venir :

- Sa va rien de cassez ?

Mon cœur continuez tout de même a battre la chamade

❝ Gardez l'équilibre même surpris ❞

Rien de cassez ?

Alors que la horde commencez a faire barrière entre nous, je gémissait, en faite, se n'était pas vraiment les cerfs en eux même qui me faisait peur mais plutôt la créature qui les pourchassez, se que j'était sur, ce n'était pas des loups. Un grand cerf, avec des ramures magnifique me sortis de ma torpeur. Je fit un bond en arrière pour esquivez les autres cerfs qui suivait, la terre tremblait tout le long, je regardez avec frayeur les cerfs courir, d'un coup mon regard se porta a un bruit, un meuglement, j’espère de tout mon cœur que la créature n'avait pas attrapez un cerf, sinon elle serait trop proche de moi ou de l'autre loup, en parlant de lui ! Je ne savait pas si il était vivant, d'un mouvement j'hurla de toute mes force pour couvrir les martèlement des sabots. Second meuglement, un mouvement dans la horde de cerfs me fit regardez mieux, une biche, ou un cerf était tombé, surement en glissant, seulement, je le plaint ! Tombé au milieu de ses semblable et se faire écrasez par eux ! Bah rien que dit pensé sa me dégoutte!

Alors que les derniers cerfs passez, je m'approcha doucement de la biche qui était tombé parmi le vacarme des cerfs, elle ne ressemblait plus a rien, des traces de sabot était de partout, elle saignez abondamment, puis voyant le loup venir :

- Sa va rien de cassez ?

Mon cœur continuez tout de même a battre la chamade

Hors sujet:

La horde continuait de courir sous quelques meuglements, les cerfs et les biches qui avait le malheur de glisser se faisait tuer par leur semblables. Ils n'avait même pas le temps de se relever que les autres les bousculaient et piétinaient. C'était dégueulasse, ils couraient pour leur survie sans se soucier des autres. Je n'avais jamais vu des animaux si égoïste que ça, mais bon, ils faisaient sa pour leur vie, on ne peut pas leur en vouloir.

Les derniers cerfs passaient ramassant sur la poussière projeté par les sabots de leur congénères. Même sous cette épaisse poussière ils continuaient, aveuglé plus par la peur que par la poussière en elle-même. Je m'approcha et vu à travers la poussière une silhouette sombre, en forme de loup. Je regarda la louve et tourna la tête vers le bas de la pente. La traces des sabots étaient gravés dans la terre.

- Sa va rien de cassez ?

Je continua à regarder la bas de la pente, pour l'instant il n'y avait rien. Je ne voyait pas pourquoi cette horde s'avait précipiter, bousculer pour s'enfuir de quelque chose qui n'était pas présent, pour l'instant. Peut-être que la chose ne les avait pas suivis où qu'il cherchait un autre moyen de les atteindre. Peut-être même qu'il est entrain de chercher une autre horde qu'il pourra, cette fois-ci, détruire. Je n'en avais aucunes idée, en tout cas pour l'instant il faisait calme, voir trop.

Ça va... y a rien, c'est quoi qui à fait fuir cette horde de cerfs ?

Ce fut ma voix qui brisa ce silence, entre temps la poussière avait disparue. Je me concentrait tout de même sur ma position, je ne comptais pas glisser. Ni rester là car même si la chose ne se montrait pas je sentais une présence, cachée en bas, quelque part, à attendre. Elle attendait surement quelque chose de précis ou elle comptait attaquer. Je n'avais aucune idée de si elle était vraiment là ou pas, si sa se trouve c'était moi qui était devenu dingue et qu'il n'y avait rien. Peut-être que se n'était qu'une illusion à cause de mon coeur qui continuait à battre à 200/h. Même si c'était calme, j'étais sur mes gardes ne sachant pas si c'était moi ou si c'était la réalité.

Ça va... y a rien, c'est quoi qui à fait fuir cette horde de cerfs ?

Je regardais autour de moi, la pente ne ressemblait plus a la pente d'avant, les traces de sabots était comme impregnié dans le sol, certaine était même impregnier de sang, je renifla une patte, rien de spécial. Je regardait vers l'endroit ou les cerfs était venus, puis regardant le loup je me demandais bien comment il s'appellait :

-Je m'appelle Nightmare et toi, je te propose d'allez voir qui est le prédateur de ses cerfs !

Je m'avançait vers le bas de la pente puis doucement je m'arretta :

-Alors ?

Il y avait quelques cadavres de biches et de cerfs étalés sur la pente qui, elle, était recouverte de trace de sabots, il y avait de longues traîner de sang qui indiquait que les corps des animaux avaient glisser. Le pelage des victimes piétinée était sale et avait même des traces de sabots imprégnés dessus, leur tête était écrasée à cause du poids qui s'avait abattu sur eux. Il y avait aussi des empreintes ensanglantées, bref un véritable carnage. Je leva la tête vers la direction d'où ils étaient venus, au dessus des arbres il n'y avait aucune fumée. Ce n'était donc pas un feu de forêt, de toute façon si sa aurait été le cas on aurait senti l'odeur bien plus tôt.

-Je m'appelle Nightmare et toi ? Je te propose d'allez voir qui est le prédateur de ses cerfs !

C'était vraiment le moment pour les présentations ? Pensai-je pour la première partie de sa phrase, avant même que je pus en placer une elle continua. La louve prénommée Nightmare descendit de quelques pas la pente avant de tourner la tête vers moi pour me lancer :

Alors ?

J'étais d'accord avec elle, autant aller voir se qui avait tellement terrifié cette horde de cerfs même si c'était assez suicidaire vu la peur que cette chose à imprégnée aux cerfs. Ce n'était surement pas une simple meute de loup ou même un simple ours. C'était beaucoup plus que ça mais, je n'avais aucune idée de se que sa pouvais être. J'arrêta de me poser toutes ces questions qui allaient surement être répondue, je m'avança vers la louve pour sauter la fin de pente et ainsi me retrouver sur le sol plat. Devant nous se trouvais un épais feuillage, je tourna la tête vers la louve pour enfin répondre à sa question.

-Ordinn.

Gardez l'équilibre même surpris
Mais qu'est ce que c'est ?

-Ordinn.

Lorsqu'il prononça son nom, j'était en train de sautez le bas de la falaise pour me retrouvez devant un épais feuillages, m'approchant doucement du feuillage j'huma l'air, je ne sentais rien de dangeureux. Je regardait Ordinn pui alors qu'il arrivez vers moi je commença a rentrer, a un mètre de la Saillis des hais de arbres, buissons ect cachez une forêt d'arbre ou on pouvait marchez il y avait quand même des arbustres et des lianes.J'avait tout les sens en alerte, oreilles, yeux, nez, pour entendre le moindre bruit, voir le moindre mouvement furtile, sentir toutes les odeurs. Alors que nous marchion depuis déjà quelque minute, nous arrivions dans une sorte de plaines, elle faisait la forme d'un cercle, je regardait un forme informe a terres, puis m'arrettant je montra la "chose" a Ordinn

Eques, Never-Utopia.

La louve fis le premier pas, je la suivi en étant sur mes gardes pour entendre le moindre bruit ou la moindre odeur. La feuillage était beaucoup plus dense, au point que je dû m'abaisser légèrement pour éviter de faire du bruit et ainsi alerter la bête. Des lianes pendaient sur moi et les feuilles me cachaient la vue, j'essayais de voir à travers mais elles étaient trop épaisse. Après quelques courtes minutes moi et Nightmare arrivons dans une sorte de plaine formant un cercle. La louve noire me fis un signe de patte pointé vers le centre de la plaine, je suivis la direction du regard et la vue.

C'était la chose qui avait fait fuir les cerfs, elle nous était de dos, son pelage était blanc et ses poils mi-long. Son pelage était maculé de sang, de petites gouttes tombaient de son pelage pour atterrie dans une flaque rouge. La bête, ou plutôt ce truc, se releva et se tourna lentement, elle semblait démembrée, je m'attendais au pire. Elle fini par être en face de nous, son sourire était tordu, sa patte qu'elle mettait en avant était osseuse, ses yeux étaient bleu et dégageaient une froideur à donner des frissons dans le dos. Elle donnait l’impression d'avoir du mal à se tenir droite, ses crocs dévoilés et du sang coulait de sa gueule. C'étai horrible, elle avait une longue griffure au poitrail et sa langue n'était pas visible à cause du liquide rouge. La créature avait la peau sur les os et son expression était la folie pure, personne ne pouvait avoir pitié d'elle. Je grogna, essayant de me calmer car intérieurement je stressait mais, je ne le montrais pas.

Gardez l'équilibre même surpris !
Je croit que ....

Je regardait la "créature", son pelage blanc maculé de sang me prouvez que c'était elle qui avait éffrayez les cerfs. Elle fit un mouvement pour se mettre en face de nous, son sourire faisait froid dans le dos et sa patte osseuse aussi. Elle tanguait un peu et avait mal a se tenir droite, du sang coulée de sa bouche. Ses yeux était trop bleu, bleu trés claire, je regardait ses narines ainsi que ses oreilles qui bougeait trés vite, un grognement me sortit de la torpeur ou j'était, je tourna ma tête vers Ordiin puis approchant ma gueule de son oreille je murmura:

- Ordinn, je croit que cet ... chose est aveugle, regarde comment ses yeux son trop bleu et comment elle bouge ses oreilles bouges trop.

Je me remit face a la louve, elle ne pouvait surement pas nous voir mais pouvez sentir tout nos mouvement après tout je n'était pas chasseuse pour rien !

Eques, Never-Utopia.

La louve noire s'approcha de moi, son pelage était presque collé au mien il ne manquait que quelques centimètres. Sa gueule se rapprocha de mon oreille, je ne quittait pas la louve des yeux, ses mouvements seraient surement imprévisible. Je ne voulais pas que cette chose m'attrape, surtout quand on vois son expression de folie.

- Ordinn, je croit que cet ... chose est aveugle, regarde comment ses yeux son trop bleu et comment elle bouge ses oreilles bouges trop.

C'est vrai que c'est yeux étaient très clair et qu'ils bougeaient trop, comme sa truffe d'ailleurs. Elle voulait surement notre position exact pour ne pas attaquer le vide, si c'était ses intentions. Les secondes s'écoulaient quand la chose blanche se leva en donnant encore plus l’impression qu'elle était démembré. Elle resta figé regardant vers notre position, elle nous avait repéré, je n'étais pas sûr de ses intentions mais pour moi elle voulait notre mort pour le goût du sang.

La louve avança d'un pas vers moi et Nightmare, on pouvait pratiquement voir son squelette, la chose continua d'avancer toujours dans la même direction. Je me mis en position de combat et pris le risque de grogner, de toute façon elle nous avait déjà repérée. Je sais que en grognant elle avait en tête ma position plus précisément qu'avant mais même en me déplaçant elle m'aurait entendu ou au pire, senti.

Gardez l'équilibre même surpris Dangeureuse animales ....

Je gardais mes yeux fixaient sur la louve je fit un geste pour dire a Ordinn de ne pas bougé, attrapant un cailloux je le lança vers des broussailles, la louve eu la réactions que j'attendez elle tourna la tête vers l'endroit ou elle entendis le bruit et j'avançais doucement derrière elle, posant ma patte délicatement a terre et je marchais ainsi je ne savait pas ce que faisait Ordinn mais moi je savait très bien se que j'allait faire.

Arrivé a 5 mètre de la louve, je gardait mes yeux rivés sur elle, malheureusement je ne vis pas une branche et un craquement se fit entendre, la louve se tourna dans la seconde qui suivait, j'eu un reflexe qui ma sauvait je fis un bond pour arrivez non loins du dos de la louve et sautant dans le dos de la louve je mordit l'animal, mais elle même d'une force assez grande me fit voltiger d'un mouvement de dos et j'alla voltiver et me tapa contre un arbres je me leva non sans mal en couinant :

- Ordinn attention ne fais pas un geste !

Le coup que j'avait reçu m'avait quelque peu étourdis et j'essayez de reprendre mon calme en fermant les yeux et je ne savait pas se qu'Ordinn faisait.

Eques, Never-Utopia.

Nightmare me fis un geste qui m'ordonnait de ne pas bougé, je le fis n'ayant aucune intentions précises. La louve noire prit un cailloux pour l'envoyer quelques mètres plus loin, la chose démembrée tourna la tête d'où le bruit venait. Ma nouvelle connaissance en profita pour s'approché et alerta la louve, pas très discret je l'accorde mais, pour se rattrapé Night' sauta dessus mais fut rapidement à terre.

Même avec son apparence de louve démembrée elle devait avoir de la force, elle s'approcha de moi d'un pas lent en donnant l’impression qu'une de ses pattes allaient se brisée. Je m'attendais à entendre un craquement d'os mais, rien, j'entendais ses bruits de pas se rapprochés.

Ordinn attention ne fais pas un geste !

Je tourna la tête vers la louve, je n'allais pas attendre bien sagement que cette chose me saute à la gorge et me vide de mon sang. Je n'avais que deux solutions : fuir ou me battre, je n'étais pas un lâche. Le choix était donc vite fait, il était irréfléchi mais je n'avais pas le temps pour faire une longue réflexion.

Je fonça sur la louve et lui donna un coup d'épaule puissant, elle s'écroula sur le sol et m'attrapa la gorge pour me mettre à terre. Je sentais ses os, sa peau qui étaient froid comme la mort, ses crocs étaient planté dans ma gorge. Je planta mes griffes dans son épaule pour lui laissé une belle trace de griffes, un peu de sang coulait sur son pelage. Je réussi à lui griffé l'oeil gauche, la louve blanche s'agita violemment et réussi à me repousser. Je fis quelques pas en arrière pour être éloigné de cette créature folle, je lança un regard à Nightmare.

-On a pas le choix, on doit se battre !

Gardez l'équilibre même surpris !
Terminons en une fois pour toute

Le dos collait a l'arbres je me releva et m'approchant d'Ordinn pendant qu'il se "battait" avec la louve, ma patte faisait mal, et puisque je me l'était taper viollement contre l'arbre, je ne montra pas ma douleur :

-On a pas le choix, on doit se battre !

Je secoua ma tête pour lui dire que j'était d'accord, la louve était tellement concentré a Ordinn que elle ne me vit pas arrivé, d'un mouvement je montra de la tête a Ordinn que j'allait attaqué et je sauta sur la louve. Je mordi de toute mes forces la nuque de la louve, la louve commença a se tortiller dans tout les sens pour me désarçonnait mais je tenez bon, reprenent un peu plus ma prise je leva mes pattes arrière et les posant sur l'arrière train de la louve je murmura entre mes dents :

- Ordinn fait quelque chose !

Eques, Never-Utopia.

La louve s'avança vers moi, toujours d'un pas lent, Nightmare réagit vite pour me sortir de cette galère, elle lui l'attrapa à la nuque en forçant sur ses crocs. La louve se débattait violemment, malgré qu'elle était aveugle ses yeux dégageait une haine et une rage profonde. Ses crocs étaient découverts et elle sortit, de ses entrailles, un horrible grognement. Je voyais bien que la louve au pelage noir avait beaucoup de mal à rester accroché sur la créature qui semblait symboliser la mort.

Ordinn fait quelque chose !

Je me concentra en observant la scène, il fallait que éliminer cette chose rapidement et il y avait un seul moyen : mordre puissamment sa saleté de gorge. Je pris un grand bol d'air avant de me lancer, mes crocs s'enfoncèrent dans la chair de sa gorge, son sang coulait dans ma gueule. Elle continuait à dégager une froideur comme pas permis, c'était horrible, cette sensation de chair. La chair n'est pas dérangeante normalement mais, celle de la louve était différente, elle...c'était simplement horrible. Il n'y a aucun autre mot pour le décrire, j'agita ma gueule comme pour arracher sa gorge. La créature se débattait de plus en plus et me mordit au dos en essayant de dégager Nightmare.

Gardez l'équilibre même surpris
Sa, ces fait !

Pendant que Ordinn occupait un peu la louve, je forcais ma mâchoire pour faire se que je voulait faire, lorque je vis Ordinn mordre la louve au cou je commença me penchez a droite, puis a gauche, faisant un balançier j'esperez que Ordinn reste accroché a la gorge de la louve pour m'aider, je fit cela pendant quelque seconde, puis aidez par les blessure grave qu'on avait infligé au louve, la louve s'écroula, malheureusement au moment ou elle s'écroula ma patte droite glissa sous la louve et elle tomba dessus la douleur m'envahis soudain, j'avait heureusement entendu aucun mouvement :

- Ordinn achève la

J'avait beau tirez sur ma pattes pour l'enlever je n'y arrivé pas et je vis du sang sortir de dessous la louve maintenant morte, je couinait encore quand j'aperçu le liquide rouge, et j'esperez que se soit le sang de la louve, je continuait a poussé, épuisait par la bataille et par l'effort je m'alongea :

- Ordinn aide moi s'il te plait.

Eques, Never-Utopia.

Sujet: Re: Garder l'équilibre même surpris.[PV Nightmare]

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Garder l'équilibre même surpris.[PV Nightmare]

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