Amaryllis poussa un petit grognement, la tête basse, la mine froide. Ses yeux étaient sombres, sa mèche terne, sans éclat. Elle avançait en traînant des pattes, la queue touchant terre, traçant un léger sillon sur le sol poussiéreux. Elle était énervée, et cela s'entendait certainement vu le nombre de jurons en tout genre et de grommèlements inaudibles qu'elle produisait, la mâchoire serrée. Pourquoi était-elle énervée ? Oh, on l'avait juste tirée de son sommeil aux aurores pour lui demander (ou plutôt lui ordonner) de bouger ses fesses et d'aller aider quelques chasseurs à trouver du gibier. "Ça t'aidera à trouver ta voie" "Tu es assez grande pour chasser ! Tu n'es plus un louveteau !" Et tout un tas de prétextes en tout genre pour lui sommer de bouger un peu et d'arrêter de se balader de territoires en territoires pour emm*rder son petit monde. Car oui, c'était aussi un prétexte pour qu'elle arrête d'embêter les autres. Et qu'elle se rende utile pour une fois. Sauf que l'adolescente n'avait tout simplement pas envie d'aller chasser pare qu'elle savait pertinemment qu'elle ne trouverait rien ! Ou au mieux, une souris. Au pelage pelé. Maigrichonne. Sans saveur. Enfin, au moins la jeune louve chasserait seule, elle n'aurait pas à se coltiner les autres imbéciles de la patrouille de chasse.

À son grand étonnement, aucun n'avait décidé d'aller à la gorge d'abondance. Soi disant, il y'avait trop de loups des autres clans. Selon l'adolescente, ils avaient surtout peur de se battre. Enfin, elle en avait donc profité pour aller à la dite gorge, pour la première. Le pas traînant mais un peu moins énervée car heureuse d'être seule, se fut de un pas léger qu'elle se dirigea vers la gorge d'abondance. Ça lui permettrait de découvrir l'endroit et de se reposer, au lieu de chasser. Elle pourrait toujours dire qu'elle n'avait rien trouvé. Ou que n'étant pas expérimentée, le seul lapin qu'elle avait croisé lui avait échappée. Ajouté à cela un regard frustré et un soupir exaspéré, montrant ô combien elle détestait la famine, et il n'y aurait aucun soupçon sur elle. Parfait. En plus, la jeune louve savait mentir.

Enfin, au bout de une demi heure de marche, elle arriva à la gorge. L'endroit était assez petit, et le sol était recouvert d'un épais manteau de verdure, semblant épargné des intempéries tel que la neige et la pluie. Il faisait beau, le soleil était haut, et il faisait beaucoup moins froid que dans tous les autres endroits d'Estryä. Amaryllis se demanda alors pourquoi elle n'était pas venue ici plus tôt. Peut de car elle ne voulait pas voir ´dautres membres de son clan ? Certainement. Enfin, aujourd'hui elle savait qu'elle ne croiserait personne de son clan, et c'était tant mieux. Découvrant un rocher plat s'offrant aux rayons du soleil pointant à l'horizon, Amaryllis s'etendit dessus, s'étirant' soupirant d'aise, fermant les yeux, elle somnola pendant plusieurs invités, jusqu'à entendre du bruit dans les broussailles. Dressant l'oreille, elle n'y prêta d'abord pas attention et, le bruit se répétant, se décida à quitter sa pierre au soleil, non sans grommeler pour aller découvrir ce qui faisait tant de vacarme, elle découvrirait peut être un lapin blessé...

Avançant, ses poils frôlant l'herbe, elle se dirigea jusqu'à un buisson épais, frétillant, comme habité. L'adolescente s'arrêta quelques instants puis bondit sur la fourrée, en un saut formidable pour atterrir sur un petit corps, tout de même bien gros pour un lapin. Et effectivement, cela n'avait rien d'un lapin, avec des aimes et un museau, ça ressemblait plus à...


Elle plissa ses yeux émeraudes sans alléger la pression au elle maintenant sur le loupiot. Elle eut un petit sourire, attendant la réaction du petit loup dont l'odeur rappelait celle des griffes de la terre.

On m'avait demandé d'aller chercher de la nourriture pour mon clan, normal quoi, cette famine me démoraliser , personne ne rigoler et les personnes était encore plus méchants avec moi, je leurs est dit oui mais je compte loin de la chasser je préféré encore me promener et si une bestiole apparrer je la chasserait mais jamais je ne chercher des bestiole, ceci ne Server a rien, en plus je ne savait pas ou aller, pff c'est ennuyant, j'était toujours triste, je pensait a toute et a rien, vaguant dans la tristesse si monotone et attendait que le temps passe, je levait la tête, j'était au gorge de l'Abondance j'avait marcher jusqu’à la ?! Pourquoi ne pas continuer, j'huma l'air pas d'odeur particulière flotter, je continuait alors de marcher.

Apres une bonne demi-heure de marche je vis deux animaux bouger, des renards ? si s'en été cela me suffisait même les renards, malgré leurs viande maigre et durs, cela me suffirait je m'approcher le ventre collait au sol :

-J'étais seulement venue chercher pour une proie pour aider ma meute! Et... Il y avait cette souris grise qui est venue dans ce buisson alors je l'ai suivie et je suis venue la chasser dans ce buisson et là bah je suis coincée sous tes pattes...!

Cette voie-la je la reconnaissait, Erilys ?! mais elle n'était pas seule puisque elle parler, je vis alors une jolie louve sur elle avec de magnifique yeux émeraude, je fis craquer une branche pour que Erilys mais la louve n'avait pas l'air de l'avoir entendu, je remuait mon arrière train, m'élança sur le dos de la louve en essayant de la déséquilibrez pour qu'elle se pousse de dessus elle. Je ne pouvait que faire sa pour Erilys, s'était une amie et j'ai entendu que aidée c'est amie cet normal.

- Erilys !

HS:

Amaryllis renifla négligemment observant la loupiote de haut. Elle avait un pelage aux couleurs claires et des yeux améthystes contrastant avec ce pelage immaculé. Enfin, c'était tout de même amusant, une loupiote à peine née voulant chasser ? On aura tout vu ! L'adolescente se mît à ricaner, le regard rieur alors qu'elle entendait une brancher craquer, ni portant pas vraiment attention. La jeune louve se pourlécha les babines, comme-ci elle s'apprêtait à dévorer la petite louve, telle une bête sauvage. En fait, elle espérait juste apeurer la petite louve, histoire de s'amuser un peu. Mais elle n'eut pas le temps de jouer la comédie plus que cela puisqu'elle sentit un poix s'abattre sur son dos, la surprenant quelque peu. Enfin, l'adolescente était robuste, elle tourna négligemment la tête, découvrants ne louve au pelage bicolore, le visage marqué paru ne profonde tristesse qui fit aussitôt sourire Amaryllis.


Tiens ? Les deux se connaissaient ? C'est mignon... Amaryllis se mît à ricaner avant de rouler de côté, écrasant la louve blanche et noire de son poids léger avant de se relever avec souplesse, le regard méprisant, l'œil brillant, la queue fouettant l'air. L'adolescente siffla négligemment, comme écœurée par les deux louves. Elle s'assit en face d'elles, les toisant, un léger sourire sur les babines. La jeune louve se lécha avec nonchalance une patte avant, tout en remettant sa mèche en place, qui avait soudainement retrouvée son éclat. Elle poussa un autre petit ricanement tout en déclarant d'une voix doucereuse :


Elle ricana encore, frôlant la louve bicolore, en lui fouettant négligemment le bout du museau de sa queue épaisse. Elle les jaugea toutes deux, les détaillant un peu mieux. La loupiote, dont le nom devait certainement être Erilys (à moins que l'autre louve est des amis imaginaires du même nom mais c'était peurobable) etait plutôt petite, et presque tout son pelage était d'un blanc immaculé, sauf le bout de sa queue et de ses pattes qui prenaient des teintes crèmes. Ses ailes, car oui elle en avait, et elle l'a plaignée de devoir tout le temps les avoir sur le dos, ça devait causer certaines douleurs à force, enfin ses ailes étaient aussi crème, jusqu'à prendre des teintes d'un doux orange. Mais ce qui attirait le l'œil et tranchaitp les lus avec son pelage, c'était ses grands yeux améthystes. Amaryllis n'était pas du tout jalouse, elle même avait des yeux qui attiraient le regard, mais il fallait avouer que les iris de la loupiote avait une belle couleur. Ensuite, elle reporta son attention sur sa garde du corps. Fine, le visage caché par des mèches blanches comme son pelage et noire comme sa queue, elle semblait si triste... Non, triste n'était pas le bon mot, c'était trop faible pour décrire l'expression du visage de cette louve. Elle semblait presque dépressive, ses yeux bleus se plissant, comme ci à tout moment elle pouvait fondre en larmes. Elles u rappela quelques instants la prudence Kipina des griffes de la terre, ce que cette louve devait être simple à embêter... Ça en devenait... Pathétique oui, c'était le bon mot.


Elle ricana, se demandant bien quelles réactions auraient les deux louves. Finalement, elle avait bien fait de venir à la gorge d'abondance, pour une fois que les stupides guerriers de son clan faisaient quelque chose qui lui plaisait... Ça changeait de l'ordinaire ! Enfin, Amaryllis s'installa en face des deux presque inconnues, assises, la queue ramenée sur ses pattes, gardant tout de même un léger sourire, flottant sur ses babines, les yeux légèrement plissés, comme prête à analyser chaque mouvement, chaque parole des deux louves, qu'elles prononceraient, dans le futur proche. L'adolescente s'étira nonchalamment, puis, d'une voix trainante, dit à nouveau :


Elle avait déclaré cela sur le ton le plus neutre, possible, son sourire s'étant efface au fur et à mesure qu'elle parlait, pour faire place à une masque d'indifférence.

J'huma l'air, Erilys était de la Terre ( sa je le savait déjà) , Mais l'autre était de l'air, je croyait qu'elle avait attaquer Erilys, mais elle jouer peut a cache cache ou a un autre jeux, je regarder le sol, d'un air de désolation, j'était triste de m'être attaquer a une louve, qui ne voulait surement ne pas faire de mal a Erilys, j'ai fait l'idiote:

                               -Je ... Je ... On m'a demander de venir ... chasser .... j'ai ... marcher et je suis tombé ici.

Je ne pouvait pas regarder la louve et la loupiotte dans les yeux, se que j'avait fait me semblait trop grave pour que je me permette de les regarder dans les yeux :

                                -Je ... suis désolé de vous avoir déranger toute a l'heure, je croyait que tu avait voulu tué Erilys: je regarder la louve: désolé

Mon regard se baisser, je ne pouvait pas encore les regarder, mais mets oreille était tendue, a toute entente, Erilys expliquer, mais de toute façon on a pas a expliquer pourquoi on est ici, on a pas a nous justifier puisque on est sur un territoire neutre, mais j'était bien trop timide pour faire la demande, je ne pouvait pas, de peurs de rendre triste la louve au yeux vers :

                                                     -et toi ?! tu fait quoi ici ?!

Cette question avait été posé par Erilus, ce ton, que je ne connaissait pas de Erilys me fit sursauter, je levait la tête pour voir si les deux louve ( enfin une louve et un louveteau) avait remarquer que j'avait sursauter. J'attendait la réponse de la louve au yeux vert. Regardant le sol, j'attendait, j'avait esperer une journée calme, ou j'aurez pu être tranquille, ne pas expliquer pourquoi j'était triste, être seule pour ne pas embêter les autres, mais j'avait croiser c'est deux la, il ne fallait absolument pas qu'elle me touche ... sinon ...

ps : en passant ma couleur est : 33ccff

HS:

Celles des deux qui sembla le plus énervée, fut la loupiote qui se campa sur ses pattes postérieures, la mine courroucée ce qui amusa Amaryllis. Elle observa l'adolescente sans trop la regarder, ce qui fit encore plus sourire la jeune louve, prouvant bien que la loupiote n'était pas aussi courageuse que cela, pour planter son regard dans le sien. Quant à elle, Amaryllis ne se gêna pas pour observer la petite louve, ses yeux émeraude, rieurs, plongeant dans le regard améthyste de la loupiote, attendant le sourire aux babines ce qu'elle allait dire.


L'adolescente lâcha un rire franc et méprisant. Presque jamais personne ? Ici ? Ça se voyait bien qu'elle ne sortait pas beaucoup la gamine ! La gorge d'abondance était normalement toujours emplie de loups s'entre tuant pour un morceau de viande. Et si cette gorge était aussi déserte que cela, les trois louves ne se seraient pas croisées ici. Amaryllis se pourlécha les babines, tout en remettant sa mèche verte à sa place, assise, la queue battant l'air avec vivacité. Elle ria encore, avant de déclarer :


Sa tirade finie, l'adolescente se coucha, un léger sourire flottant toujours sur son visage, comme satisfaite de ses propos. La loupiote le prendrait certainement mal  et pourtant, ce n'était que la strict vérité. Elle était encore trop jeune pour chasser, et risquait plus de le faire fuir qu'autre chose, même si cela part d'une bonne intention. Amaryllis ne faisait que lui dire tout haut ce que les guerriers pensaient tout bas des louveteaux voulant "l'aider". Trop de bonté en elle, oui, l'adolescente le savait... Souriant à sa pensée, la voix chevrotante de l'autre louve la tira de ses rêveries. Elle avait toujours cette infime tristesse marquée sur le visage.


Amaryllis l'observa avec indifférence, ne voulant pas laisser paraître la surprise qu'elle ressentait. C'était la première fois que quelqu'un s'excusait auprès d'elle... La plupart lui criait dessus ou la sermonnait. Enfin, ce n'était pas désagréable, une marque de faiblesse, certes, mais pas désagréable. L'adolescente émit un petit rire, les yeux légèrement plissés en observant cette louve qui semblait ressentir tant de tristesse... L'adolescente eut pitié d'elle, elle était pire que Kipina, ça en devenait démoralisant. La jeune louve perdit son sourire et soupira, tout en s'allongeant, la tête sur les pattes.


Elle esquissa un petit sourire, tout en se relevant, son ennuie étant aussitôt passé. L'œil de nouveau brillant, son sourire s'élargit lorsque la loupiote s'exclama ensuite :


Amaryllis roula des yeux, mimant l'exaspération, mais elle était plutôt d'humeur espiègle, à  ainsi taquiner la loupiote. Prévoyant qu'elle allait s'énerver, elle s'approcha d'elle, un sourire niais sur les babines et lui ébouriffa le haut du crâne de sa patte.


Elle rit de sa propre plaisanterie en lui adressant un clin d'œil. Elle reporta son attention sur l'autre louve tout en s'étirant nonchalamment.

Comme seule réponse à ma question, la louve fit une remarque sarcastique enduite de remarques sur MOI et ma façon de penser.

Alors qu'elle mettait sa patte sur mon crâne en me taquinant, je baissait la tête et la regardait du coin de l’œil en grognant. Mais qu'est-ce qui m'arrive?? Je ne fais jamais ça habituellement! C'était probablement les remarques dégradantes qu'elle faisait à mon sujet et à propos de Tala qui m'énervait. Je ne savais pas trop ce qui me déplaisait le plus. Son air supérieur? Son sarcasme? Cette louve ne me plaisait pas.

Après avoir rit de sa propre plaisanterie à mon sujet et m'avoir fait un clin d’œil qui eu comme sécant de me mettre encore plus les nerfs à vifs, elle se retournait vers Tala et demandais:

"Vous avez des noms je présume ? À moins quel non vous siffle pour attirer votre attention plutôt que de vous appeler par votre prénom, mais ça serait étonnant... Et dégradant."

Je laissait Tala répondre à cette question. De toutes façons, mes dents étaient un peu trop serrées pour que je ne parle en ce moment. Tout ce qui risquait de sortir de ma bouche seraient de petits grognements d'embêtements suite aux remarques de la jeune adolescente.

Ces vrai que certain loups me remarquer souvent que je les démoralisé avec mon air triste et démoralisant, mais je ne pouvait pas m'en empêcher, ce que j'avait vécu quand j'était louveteau m'avait terrifié et je ne pouvait pas m'en empêcher. Je regarder le sol d'un air triste et désolé.

Je voulait dire a la louve au yeux vers que j'était désolé de l'avoir démoralisé, j’ouvris la gueule pour lui parler mais Erilys me devança et demanda ce qu'elle fessait ici la louve lui répondu que comme elle elle venait chasser.

Je ne pouvait, même avec tout les effort que je pouvait offrir je n'arrivait pas a penser autre chose que la tristes de la saison, et de ce qui viens de se passer me rendait encore plus triste.


                           "Vous avez des noms je présume ? À moins quel non vous siffle pour attirer votre attention plutôt que de vous appeler par votre prénom, mais ça serait étonnant... Et dégradant."

Je regardait la louve, personne ne me demandait mon nom, enfin, je pense que certaine personne connait mon nom dans mon clan, mais je préféré la solitude que d'd’être entouré par d'autre loups, je leur fessait peur ( enfin je croit) avec ma tristesse solitude, mais je ne me sentez pas bien avec eux, entouré deux, je me sentez étouffante, j'appris toute petite que la différence rend les autre loup méchant et distant, je n'était pas comme eux, je ne savait ni rigoler ni sourire, ni être heureuse, j'avait oublié tout sa quand j'était louveteau après ce drame.
   
                           "Ou.... Oui j'ai...j'ai un nom: faire une phrase s'en bégayait je n'y arrivait pas, je parlait rarement et prononcer, même le plus infime des mots me fessait perdre tout mets moyens: Je... m'appelle... Tala ....: Je regardait Erilys dont j'avait prononcer son nom la dernière fois, je pense que la louve l'avait entendu.

Je tourner ma tête vers Erilys, elle avait les dents serrait et ne semblait ne pouvoir prononcé un mots ... Mais j'attendait tout de même sa réponse ... elle était assez grande pour parler.

Je regarder le sol, tournant parfois le regard sur la louve verte et sur Erilys, j'avait peur quelle découvre que je les épient discrètement.

HS:

La petite louve n'avait de cesse de grogner silencieusement, visiblement peu amusée par les plaisanteries de l'adolescentes. Les mâchoires contractées à se briser les crocs, elle ne semblait pas vouloir décrocher un mot, ce qui fit d'autant plus sourire Amaryllis. Etre déjà aussi susceptible et désagréable à un si jeune âge... ça faisait peur. La jeune louve se demandait bien comment serait la loupiote, adulte. Droite, autoritaire et ne souriant jamais ? C'était exactement le genre de personnage que la louve des hurlements de l'air détestait et qu'elle adorait embêter, juste pour voir autre chose qu'une mine froide sur le museau de ce genre de loup. Amaryllis secoua sa tête grise, la loupiote était jeune, elle avait encore le temps de changer... Ou alors c'était seulement qu'elle ne supportait pas l'adolescente, c'était tout aussi plausible. Ses pensées se confirmèrent puisque la petite louve au pelage claire ne répondit pas à sa question, les mâchoires toujours aussi serrées, contrairement à la loupe déprimante.


Amaryllis lui jeta un coup d'œil, légèrement exaspérée par son ton triste qui commençait à l'agacer. Comment pouvait-on être tout le temps triste ? Pas un sourire, pas un éclat de rire, rien, juste les yeux brillant de larmes, la voix chevrotante et la mine triste. C'était vraiment déprimant. L'adolescente se mit à bailler tout en s'allongeant, soudainement fatiguée. Elle était censée être ici pour chasser, au final, elle se trouvait à embêter une loupiote colérique et une chasseuse dépressive. Ouais, c'était pas exactement ce qu'elle avait prévu, mais c'était moins barbant. Elle aurait juste à trouver une souris ou à prendre une mine abattue en rentrant au camp, "j'ai chassé avec ferveur et envie, mais le gibier est si peu présent... je suis navrée, je n'ai rien trouvé, mais j'ai fait de mon mieux !" oui, ce petit numéro marchait toujours. Esquissant un léger sourire, Amaryllis se râcla la gorge, la bouche sèche, avant de déclarer :


Même si les deux louves étaient très différentes, ni une, ni l'autre n'était vraiment amusante. L'une ne faisait que grogner silencieusement tandis que l'autre s'apitoyait sur son sort. Quel beau duo... Amaryllis se mit à bailler et, une odeur alléchante vint chatouiller ses narines. Tournant la tête, elle vit un arbre à l'écorce claire et aux branches nues et, sur une de ces branches, un opossum, semblant les observer, ses grands yeux noirs fixés sur eux. L'adolescente sentit ses muscles se contracter, elle n'avait jamais réellement chassée, et ne préférait pas essayer, au risque de faire fuir la proie et de se ridiculiser. Se tournant doucement vers Tala, elle lui indiqua la proie d'un signe de tête :


Elle lui offrit un clin d'œil amusé, tout en reculant doucement, faisant bien attention à ne pas faire de bruit en avançant, jusqu'à être à côté de la louve de la terre, son pelage gris frôlant presque celui de la loupiote. L'adolescente approcha son museau de l'oreille de la loupiote, et lui souffla :

Amarylis continuait à nous agacer, les yeux de plus en plus brillants, comme si elle se nourrissait de ses plaisanteries! Elle ne se nourrissait visiblement pas d'opossum puisqu'en voyant celui qui était accroché aux branches d'un arbre, elle se retourna vers Tala.

"Allez chasseuse, montre nous tes talents de prédatrice !" Décidément, cette louve ADORAIT taquiner et rigoler de l'embêtement des autres.

Après s'être reculée jusqu'à mes côtés, elle me dit:

"Regarde comment fait un vrai chasseur, et prends des notes, t'en auras besoin."

-Mais j'allais l'avoir cette souris! Dis-je avec un ton de protestation et en me relevant d'un coup sur mes pattes pour faire face à l'adolecente C'est toi qui me l'a fait raté! Je l'ai frôlé tout comme tu mettait tes grosses pattes sentant l'air à plein nez!

Malgré le froid qui régnait, je sentait mon corps se réchauffer de plus en plus, la frustration sûrement. Je ne prenais aucune remarque à mon égard! Je ne pouvais simplement pas le supporter! Le pire, c'est que le tout semblait amuser la jeune louve!

La jeune louve, enfin l'adolescente, me regardait me montrant opossum coinçait das l'arbre, elle voulait apparemment que je le tue, je regardait au alentour si il y avait un rocher, il y avait bien un rocher, je m'approchais doucement de lui, ne faisant pas de bruits pour ne pas faire fuir l'opossum; Je m'approcher délicatement , il y avait une branche d'arbre assez grosse pour supporter mon poids. Je jeta un coup d’œil sur la louve verte et sur la loupiote :

-Tr ...Très bien ...

Je prenait donc de l'élan et sauta sur le rocher, puis sur la branche, puis ricocha en attrapant l'opossum sans crainte dans la bouche, lui plantant mets crocs dans sa jugulaire, le sang gicla et l'opossum eu son dernier battement de cœur. je ferma met yeux quelque secondes comme une prière silencieuse pour l'opossum que je tenait entre mes babines pleine de sang : j'alla déposé mon butin a mets pieds en me postant devant la louve, je regarder le sol craignant des remontrance :

-voila, il est mort

Je regardait le sol, j'avait été triste de tué les bêtes mais elle sont indispensable a nos survie, je n'osait pas encore regarder les deux autre dans les yeux

Alors que la chasseuse des voix de l'eau se mettait en position pour chasser, la loupiote se mit à protester vigoureusement contre les propos qu'avaient tenu Amaryllis quelques instants plus tôt. Rétorquant avec hargne que si elle avait raté sa souris, c'était à cause de l'adolescente et personne d'autre, et cela fit beaucoup rire la dite adolescente. Lui plaquant sa queue grise et épaisse sur le museau pour l'empêcher d'exprimer à nouveau son mécontentement, la jeune louve siffla doucement entre ses crocs, toujours un léger sourire aux babines qui, elle le savait, agacerait encore plus la loupiote, Amaryllis reporta son attention sur Tala, qui venait de sauter sur un rocher opposant, proche de l'arbre où se tenait l'opossum, visiblement peu attentif à ce qui l'entourait, le petit animal grattait l'écorce sombre de l'arbre sans feuille, sa queue de rat s'agitant. La louve bicolore se ramassa sur elle-même avant d'effectuer un bon prodigieux, s'agrippant à l'arbre tout en attrapant la proie au passage, lui ôtant la vie sans qu'il ne s'en rende compte. La louve le déposa au sol, les yeux se plissant de tristesse encore plus que d'ordinaire. Amaryllis leva les yeux au ciel :


Cela l'exaspérait beaucoup, c'était comme-ci... un loup détestant les louveteaux devenait nourrice ! C'était ridicule ! Voir pitoyable. L'adolescente poussa un petit soupir, avant de chasser ses pensées d'un mouvement de queue. Elle observa ensuite l'opossum, qui gisait toujours sur le sol, inerte, son poil blanc s'étant teinté de sang. Amaryllis s'en approcha, et le fit rouler du bout de la patte, la mine morose. Elle remit sa mèche verte à sa place et sans lever la tête, déclara :


Elle tourna sa tête vers la loupiote des griffes de la terre en souriant, elle aimait bien taquiner cette petite louve, cela semblait si simple de la mettre en rogne. Amaryllis s'ébroua, avant de regarder les alentours verdoyant. Elle comprenait pourquoi les chasseurs venaient ici, cet endroit semblait épargner de l'hiver, il y faisait moins froid, la neige n'était que très peu présente et il devait y avoir tout de même un peu de gibier. Pas des cerfs ou de grandes proies ressemblantes, plutôt des lapins, rongeurs et même des opossums comme Tala venait de tuer. La jeune louve observa la proie, elle n'était pas très épaisse, mais même en la partageant, elle lui permettrait de se remplir un peu la panse.

En attendant que les deux louves lui répondent, Amaryllis s'éloigna un peu, entre la susceptible et la dépressive, elle préférait s'éloigner un peu, pour éviter d'entendre les protestations de l'une, et les lamentations de l'autre. Quand, soudain, un frémissement. Etonnée, la jeune louve s'approcha d'un buisson dont les branchages frémissaient. Et, une masse brune de petite taille en sortit, c'était un ourson. Etonnée, elle l'observa humer l'air, sa truffe humide s'agitant. Souriant, l'adolescente s'exclama :


La fin de sa phrase se perdit dans un grognement, venant dans son dos. Figée, Amaryllis sentit son poil se hérisser, tandis qu'une ombre s'étirait, immense. Lentement, elle tourna la tête, voyant peu à peu l'ourson, dix fois plus grand et dix fois plus agressif. L'imposant animal poussa un rugissement, ses pattes énormes griffant l'air avec colère. L'ourson contourna Amaryllis pour se pelotonner dans les poils de son congénère plus grand et certainement sa mère. Mère qui observa la jeune louve des hurlements de l'air de ses petits yeux sombres et froids.


Ce fut tout ce que put déclarer la jeune louve avant que l'ours se mette à rugir avec férocité, nouant son estomac.

Cette louve m'énervait. Mais qu'est-ce qu'elle m'énervait! Ce n'était pas plus le fait qu'elle me taquinait que je ne prenais pas mais aussi le fait qu'elle taquinait Tala!

J'allais riposter lorsque j'avalais quelques uns des poils gris que la louve m'avait mis dans la gueule en me faisant taire avec sa queue.

-Pouah! Beurk!

L'adolescente se tourna vers Tala et dit en levant les yeux au ciel, geste qui ne m'étonnait pas de sa part...:

-Ne me dis pas que tu es chasseuse et que de tuer te rend triste ?!

Pourquoi était-elle aussi arrogante envers Tala?! Elle ne sait rien de son passé, je ne comprends pas pourquoi elle est toujours sur son dos à ce point!

Elle s'approchait de Tala et suggérait de partager opossum.

J'pense qu'on peut le partager, on va pas se déchiqueter pour ce ridicule morceau de viande, enfin, si ça ne te dérange pas loupiote, je n'ai pas envie de te froisser.

J'en avais mare... Je n'osais même plus grogner, je venais de comprendre que ça ne faisait que l'amuser encore plus.

Avant que je ne puisse répondre, Amaryllis se dirigeait vers un buisson qui se mit à bouger. Une petite masse brune en sorti mis c'était trop loin pour que je puisse distinguer ce que c'était.

-Tu te ballades tout seul t...

La jeune louve grise interrompu sa phrase lorsqu'elle découvrit que ce qui se tenait maintenant derrière elle, était la mère de la petite masse brune qui était en fait... Un ourson! Il s'agissait donc d'une ours!

-Hé! Toi là-bas! Laisse Amaryllis tranquille!

L'ours tournait son regard froid vers moi.

-*Gulp* Oups...!

Alors que je regardait le sol après qu'amaryllis mes dit qu'on allé partager l'oppossum, Amaryllis avait trouvé une petit animal, qui ensuite en avait attirer un plus gros surement sa mère :

-Hé! Toi là-bas! Laisse Amaryllis tranquille!

Je regardait, Erylis avait parlé a l'ours, je regardait l'énorme bête, la mère voulait surement protégé son bébé, attendait, on est en hiver ?! et en hiver les ours sa hiberne. Alors elle chercher de la nourriture .

Je regarda Erylis, la petite avait peur de l'énorme bête qui s'approchait d'elle désormait, puis je regarder Amaryllis, qui regardait l'ours ...

On nous avait pas appris a battre ses machin, alors que l'ours s'approchais doucement d'Erylis, j'accouru vers elle, toute en m'approchant d'Erylis je fessait bien attention ou je metter les pattes, si je devait mourir je m'en foutait completement, malgré la masse énorme qui était devant nous je voulait sauvait Erylis :

-Et toi l'ours ...laisse Erylis tranquille !

L'ours tourna son regard quelque peu froid vers moi je regarder le sol, au moins ma mort sera vite fait, un coup de patte de cette animal et ces réglé:

-Amaryllis, va récupérer Erylis ...

La bête ne porta pas longtemps attention à Amaryllis. Ses petits yeux sombres s'étaient très rapidement tournés vers Erilys, la petite loupiote qui avait eu le malheur de provoquer la bête en lui ordonnant "héroïquement" de laisser l'adolescente des hurlements de l'air tranquille. Courageuse mais inconsciente, ou stupide, enfin c'était presque synonyme. Enfin, ce qui était le plus étonnant, c'était de voir une ourse et son ourson en plein hiver. Un ours est censé laisser tranquille les loups en hiver, en hibernant. À croire que la faim ne touchait pas que les quatre tribus... La bête brune s'approcha en grognant sur la petite louve sa truffe humide s'agitant doucement, c'était certainement un point sensible, tout comme pour le museau des loups ou une griffure pouvait faire très mal. L'ourson, quant à lui, resté en retrait, observant la scène avec de grands yeux innocents, tranchant avec la cruauté qui peignait ceux de sa mère.

Tala s'approcha alors de la loupiote en un geste inconscient de la protégée. Amaryllis siffla entre ses dents, plus qu'exasperait par l'inconscience des deux louves. La chasseuse se tourna rapidement vers elle, et d'une voix un peu plus ferme et assurée que d'ordinaire, lui ordonna :


Elle avait déclaré tout cela d'une voix légèrement grinçante, faisant bien comprendre à la chasseuse qu'elle n'avait aucun ordre, conseil, proposition à lui donner. Faisant claquer sa queue avec véhémence, Amaryllis se faufila derrière Tala, gardant la tête basse pour ne pas attirer l'attention de la femelle. Elle attrapa Erilys par la peau du cou comme le ferait une mère portant un petit trop turbulent. L'adolescente recula ensuite, gardant la tête haute pour ne pas que la loupiote se salisse et essayant de ne pas croiser les yeux sombres de l'ourse pour ne pas attirer son attention. Elle s'éloigna un peu de l'endroit, et déposa avec délicatesse la loupiote dans un buisson... Ou plutôt elle la balança sans crainte dans les feuilles et lui ordonna :


Elle lui sourit en lui adressant un clin d'oeil ne perdant pas son sens de l'humour malgré la situation dangereuse et... Critique ? Après tout, Tala se trouvait face à une bête faisant quatre fois sa taille pouvant arracher la tête de un coup de patte. Légèrement abaissée vers le sol à tel point que les poils de son ventre frôle le sol, elle contourna la bête, ses pattes touchant le sol, produisant le moins de bruit qu'elle pût, essayant de marcher tel un félin, ou un grand espion. Ce qu'elle allait tenter était risque, d'autant plus si l'ourson alertait sa mère, mais il semblait plus occupé à observer Tala en produisant de petits cris désagréables mais beaucoup moins inquiétant de son congénère gigantesque.

Enfin, elle se trouva dans le dos du prédateur, oui, son idée était réalisable. Dangereuse, mais réalisable. Silencieusement, elle déploya ses ailes angéliques, se ramassa sur elle-même, et, sauta, faisant claquer ses ailes pour se donnera plus de vitesse et de puissance, jusqu'à atterrir sur le dos de la bête. À l'aide de ses griffes, elle se cramponna, tirant sur les poils longs de l'ourse pour ne pas tomber, battant des ailes pour garder l'équilibre. L'animal rugit de colère et commença à se débattre, donnant de grands coups de pattes dans les airs, s'agitant jusqu'à donner le tournis à Amaryllis. Mais elle restait cramponner, cela permettrait aux deux autres louves de l'attaquer, ou de s'enfuir si elles étaient lâches. Mais, dans ce cas, Amaryllis, si elle survivait, se ferait un plaisir de les retrouver et de faire de leur misérable vie un enfer.

Vu qu'Erilys a été remise à libre, rp abandonné.