Les arbres été presque tous dénudé de feuille. Ces dernières recouvraient le sol d’Estryä morte sous le froid d’automne. Brume finissais sa ronde. Elle aimait bien participer aux patrouilles. Après tout c’était son devoir de protéger sa meute et son territoire. Le temps commençait à s’assombrir sur la prairie étoilée ce qui avait pour effet de rendre marabout l’alpha. Elle allait probablement devoir rentrer sous la pluie ou peut-être sous la neige vue le froid de cette journée d’automne.

Brume marchais à la limite toujours a l’affut d’une quelle conque odeur. Ignorent la faim et le gibier qui lui tournaient au tour. Il était interdit de manger lors d’une patrouille et encore moins lors d’une partie de chasse. Brume prônais l’entraide et tout le monde devais manger en même temps. Du moins en soirée. Pour elle il s’agissait d’un grand banquet qui rapprochait les membres de sa meute. Être mère l’avait un peux changer. Elle ne voyait plus sa meute comme un devoir de puissance, mais comme sa famille. Le départ de Snow l’avait vraiment rendu furieuse on ne quitte pas sa famille point final.

L’odeur de son clan arriva à son museau. Elle était fraiche et ce n’était pas l’odeur d’un de ses guerriers. L’alpha suivit l’odeur pour savoir qui trainait dans le coin. Bien qu’elle ne fût pas, trop d’humeur de la compagnie ne ferait pas de mal. La louve violette arriva finalement près d’une louve qui semblait dormir. Brume l’avait déjà vue dans le camp dur à manqué après tout avec ses trois queues, mais elle ne lui avait jamais adressé la parole. C’était donc l’occasion de le faire.

-Tu devrais aller dormir dans ta tanière les nuits commence a être froid dans le coin.

La louve bougea sa tête dans la direction de l’alpha, mais en peu de temps cette dernière perdit connaissance. Brume fut surprise et figea. Elle ne savait pas pourquoi la louve avait perdu connaissance, mais elle devait l’aider. L’alpha se précipita sur la louve inconsciente et l’attrapa par le col comme elle le faisait avec Bosco. À la différence de son petit, l’inconsciente était beaucoup plus grande et lourde à transporté.

Brume connaissais son territoire par cœur et elle s’avait que le ruisseau de la solitude passait à la lisière de se territoire donc pas très loin. Tirent la louve à trois queues de toutes ses forces Brume parvient à l’apporté prés de l’eau. Elle pausa la tête de la louve prés de l’eau et arrosa son museau pour la réanimée ne savent pas trop quoi faire. Oui elle avait des bases de soins, mais rien contre les malaises du genre.

Brume fut s’satisfaite de voir la louve se réveiller. Elle sortit ses pattes de l’eau avec grand bonheur. L’au était tellement glacé que ses pattes étaient crispées et douloureuse. La louve don le nom lui était encore inconnue se tortilla un moment et fit un tour sur elle-même pour finalement tombé à l’eau. Brume voulue la rattrapé, mais il était trop tard. Il s’agissait d’un réveil plutôt brutal pour la pauvre louve. En un bond elle sortit de l’eau. Quoi de plus normal?

La louve semblait perdue elle cherchait quel que chose avant d’arrêté son regard sur l’alpha. Cette dernière toujours avec son allure royale était assise droite et la regardait sans broché. L’inconnue fût de même et s’assis devant Brume. Elle la regardait d’une aire perplexe.

Brume adoucie ses trait de visage. Elle ne lui souriait pas m’ai n’était pas non plus autoritaire comme a son habitude. Un silence plana un instant entre les deux louves avant que l’alpha prenne la parole.

-Tu vas bien ? Enfin malgré le froid qui doit te glacer le sang.

Brume ne la voyait pas grelotté du moins pour l’instant, mais elle savait que se ne saurais tarder. Ses pattes la faisaient terriblement souffrir vu qu’elle était congelée. L’alpha plaça sa queue sur ses pattes pour les réchauffés plus rapidement.

Brume ne quittait pas la louve du regard a l’affut du moindre problème provenant de son interlocutrice. Après tout elle venait de s’évanouir elle pourrait le refaire puisque Brume ne lui avais rien donné mit à part quel que goute d’eau glacée.

La louve en face d’elle acquiesça, mais Brume ne la croyait pas. Quelque seconde après son mouvement de tête la louve vacilla. Elle ne semblait pas très bien. La louve ce précipita ver l’eau glacée pour en prendre plusieurs lapé ; de quoi se geler le cerveau. Brume l’observait. Comment une louve de son clan pouvait-elle être aussi mal en point ? Elle avait des guérisseurs au camp pour éviter les cas du genre. La blancheur de l’inconnue fessait pitié et Brume décida de lui trouvé quel que chose sous la dent même s’il était interdire de chasser en patrouille. Après tout elle était alpha et c’était elle qui choisissait les règlements. De plus, la louve semblait trop faible pour retourner au camp ainsi.

-Attend moi ici je vais te trouvé quel que chose a mangé et il s’agit d’un ordre.

Dis l’alpha avant de partir à la course dans la prairie étoilée sans attendre une réponse. Brume humait l’air à la recherche de la moindre effluve d’un gibier. La chasse serait dure vu la nuit qui débutait et le temps orageux qui s’annonçait. Le gibier n’était pas dupe il se protégeait pour la nuit. Après un moment qui lui parut assez long vu le temps qui la pressait Brume tomba sur un terrier de lapin. Les pistes étaient fraiches et sans attendre la louve se mit à creuser dans le trou pour pouvoir y faufiler la tête et attraper la pauvre bête. En peu de temps, elle ressortait de là avec un lièvre à la fourrure marbré de sang. Brume ne pris pas le temps de reprendre son souffle avent de repartir vers le ruisseau et de déposé le frêle lapin devant la louve mal en point.

-Tien mange il te faut de force pour revenir au camp.

La louve violette s’assit de nouveau devant son interlocutrice –un mot dit bien vite, car seul Brume parlait-. L’alpha se lécha les babines pour nettoyer le sang. Son ventre grogna de faim. En temps normal à cette heure elle arriverait au camp et donnerait son accord aux membres de sa meute pour manger. L’alpha devait rentrer bientôt sinon tout le monde aurait terriblement faim, mais elle ne pouvait pas partir sans la louve qui était devant elle.

-Je suis Brume, ton alpha, et toi qui est-tu ?

La louve à trois queues ne toucha pas au lapin qu’elle avait tué pour elle ce qui insulta l’alpha au plus haut point. Elle voyait bien que la louve était faible et qu’elle avait besoin de soin et surtout de se nourrir. Elle n’avait que la peau sur les os ! Mais ce refus ne fut pas ce qui vexa le plus la louve violette. Les paroles de l’étrangère la fit bouillir.

-Je ne crois pas que tu te rappelles de moi, Brume. Voilà plusieurs années que je n'ai pas remis le nez dans les tanières de mon clan...Et j'ai l'intention que cela reste un fait. Merci pour le gibier, par contre. Son odeur à de quoi me donner la nausée pour plusieurs jour, encore. Je devrais pouvoir retarder la faim encore un peu. Mais si tu veux à tout prix avoir mon prénom.... Rapelles-toi de l'incident survenue dans un duel amical de chasse. « La petite perdue » contre le meilleur du clan tout entier....on m'a cru morte pendant des années, je ne veux pas décevoir personne en revenant à la vie!

Un grognement monta à sa gorge. Elle détestait les loups pessimistes et qui ne demandaient qu’à mourir. Si c’est ce qu’elle voulait l’alpha pouvait très bien débarrasser le monde d’un parasite dans son genre et surtout ses terres. Elle rattrapa la louve et lui bloqua le chemin les crocs à découvert et le poil hérisser. Et oui Brume était toujours aussi colérique… Elle s’approchât de la renégate de toute sa hauteur et les yeux noirs emportés par la colère de voir un de ses membres aussi faibles et abus de lui-même, comme si le monde tournait au tour de leur pauvre carcasse frêle.

-Oh je voix ! On joue la carte de la louve misérable ? Tu sais que tu es la seule responsable de tes malheurs. Être un pitoyable chasseur n’est pas la pire des calamités! Et grâce à ta folie suicidaire, un lapin est mort inutilement ! Tu crois appartenir à mon clan ? Avec tout ce que tu m’as dit, tu ne lui appartiens pas ! Tu es trop misérable pour fouler mes terres et croire lui appartenir! Les seuls loups qui mérite porté le nom de me tribut son les loups qui son utile et qui crois en la vie ! Va mourir plus loin je ne veux pas de ta carcasse sur mes terres!

Grogna la louve violette enragée par la pitoyable louve qui se croyait chez elle. L’alpha était certain que cette dernière allait quitter ses terres sans vouloir revenir après tout elle le fessait déjà pour les tanières. Cela ne l’incommodait point elle n’était pas le bien venue si elle voulait rejoindre les âmes des défunt… et même la Brume doutait que son âme sois assez pure pour aller les rejoindre.

Brume écoutait la louve d’une oreille peux attentive. Son discours pitoyable l’énervait. Il était peu cogérant selon elle. Si elle n’était pas malheureuse, pourquoi se mutiler intérieurement et se laisser mourir de faim?

-J’ai effectivement un clan à nourrir et à la base je te rappelle que tu portes son odeur. Avec peu de fierté à ma plus grande rage ! Ce lièvre n’est plus bon a rien il ne sera plus assez frais lorsque j’arriverais au camp.

La louve poursuivit son discours. Elle parlait d’un loup qu’elle avait rencontré. Qu’est-ce que ça pouvait bien lui faire? L’inconnu semblait si faible, triste et perdu rien de plus pitoyable. Brume n’avait plus aucun respect pour ce corps sans âme.

-Oh je vois madame est amoureuse. Tu sauras que ce mâle te brisera en mille miettes, quoiqu’il ne reste plus grand-chose de toi il te tue déjà par l’intérieur.

Répliqua la louve en portant un jugement précipité. Même si elle avait tord elle sans fichait. La louve avec qui discutait –ou plutôt s’engueulait- Brume lui tourna le dos se dirigea vers la boule de poile inerte prés de la rivière. Elle fit la liste des rangs énumèrent une raison pour la quel elle ne l’était pas devenue jusqu’au moment ou elle s’arrêta sur le rang d’espionne ce qu’elle prétendait être. L’alpha éclata de rire. Un rire sarcastique et empli de noirceur. Brume se dirigea vers la louve, qui c’était laisser choir pitoyablement au coté du lièvre les yeux pleins d’eau, d'un pas lourd.

-Ah ! Toi une espionne ? Ma pauvre tu es loin d’être a la hauteur de se poste ! Tu es trop faible pour parcourir le quart d’un territoire. Même un louveteau serait plus endurant! Tu es loin de m’être utile ! Toi les yeux de la meute? Haha tu n’es pas capable de te tenir debout sans que ta tête tourne! Dans ton choix de rang tu aurais dû inclure rejet !

Cracha la louve dégoûtée par « l’espionne » pitoyable. Cette dernière hurla désespéré le nom d’un certain Hugo. Qui cela pouvait être? Brume ne savais guère et elle ses préoccupait peux. S’il pouvait achever, la carcasse errante de cette louve Brume le féliciterait.

-Oh ma chérie tu es pitoyable. Tu n’es pas une espionne, mais une rejetée. Tu ne vaux pas plus de toute façon. Tu fais bien de ne plus revenir aux tanières. Tu ne serais plus la bienvenue, je ne veux pas d’épave dans mon clan. À ta place j’envisagerais même le statue de bannis, car tu n’es pas non plus la bienvenue sur mes terres je n’ai pas plus envie de squatteur !

Dis la louve amèrement dégoutée par la faiblesse de son interlocutrice.

Brume bouillais toujours de colère… c’était un problème chez elle, jamais elle était sereine, enfin si, mais la colère était beaucoup plus présente et l’enivrais facilement. C’était beaucoup plus facile de faire la grosse brute que de demander gentiment pour se faire respecter.

Voir la faiblesse, les larmes, de la louve à trois queues ne fessait que confirmé son choix. Cette louve ne lui était d’aucune utilité. Elle était davantage un fardeau qu’autre chose. Quelle aye mourir autre part.

L’alpha fut tout de même surpris que la louve, qui ne méritait presque pas ce statut vu son rejet de sa nature carnivore, la remercie. Les mots « libre de toute charge » la fit ricaner une fois de plus.

-Quelle charge ? Tu te laisses dépérir, tu ne fais rien! Tu ne penses même pas à ta meute. Selon moi tu ne satisferais à aucune exigence, même les plus minimes.

La louve qu’insultait brièvement Brume expliqua qui était ce « Hugo », mais l’alpha n’écouta pas grand-chose. Elle sent contre fichait de qui il était. Brume reporta son attention sur la pathétique louve a trois queues lorsqu’elle sembla vouloir partir. Elle entendu alors c’est dernier mot. « Je t’en dois une » ? Si elle pouvait aller crever pour elle au moins elle rendrait service à tout le monde. L’alpha parti finalement dans la direction opposée. Elle retournait aux tanières s’occuper de s’eux qui en valait vraiment la peine et enfin mangé.

-Non, mais je suis entouré de parasite moi !

Ragea la louve pour elle-même. Elle partit au galop pour arrivé le plus tôt possible elle était déjà en retard à cause d’une idiote qui ne devrait plus remettre les pattes sur ses parcelles de terre à moins qu’elle souhaitât de l’aide pour mourir.