Verseau entendit sonner l'alarme. Deux chasseurs vinrent dans la grotte et exclamait l'un à travers l'autre, le guerisseur n'avait pas suivit. Puis finalement Terra vient le voir en disant que c'est un car pour lui. Il abandonna son compte d'ingrediants pour suivre rapidement les chasseurs. Et quand il la vit, il confirma que c'était en effet, un cas pour lui. Il ordonna aux chasseurs d'apporter la louve à la grotte, puis il vira tout les autres pour avoir le coin tranquil. Les chasseurs la posèrent.

"Elle s'appel comment?" Demanda-t-il.

"Isilvia" Répondit l'un deux puis ils partirent. Il s'approcha et regarda les blessures puis il la poussa un peu.

"Isilvia?" Appela-t-il "Reveille toi"

La louve semblait perdue, cela n'était pas du tout bien. Verseau la regardait dans les yeux, cherchant quoique ce soit d'anormal dans sa vision. Le guérisseur leva les yeux sur son corps et serra les dents. En voila un autre d'amoché; cela lui fessait une grande peine de voir ses camarades ainsi. Il la regarda et répondit:

"Tu es chez les guérisseurs Isilvia. Je suis Verseau" Puis il se tourna vers sa reserve d'eau et l'appela vers lui. Il fit venir l'eau et le posa délicatement sur le front de la louve, puisqu'elle semblait bien avoir mal à la tête. Puis il alla à sa reserve et prit tous les ingrédiants qu'il pouvait, tous ce qu'il pensait pouvoir utiliser. Il s'asseya face à elle et dit:

"Tu te souviens de ton combat?"

Verseau hocha la tête; c'était bien qu'elle se souvienne au moins de cela. Il roula tout de même les yeux à son sourire satisfait d'avoir était victorieuse. Il ne comprennait cet mannis de devoir toujours gagné; desfois ses guerriers avaient besoin d'une bonne vielle défaite pour les calmer. Il fronca et se leva. Il jetta un oeil inquiet au dos de la jeune louve.

"Explique moi tes blessures" Dit-il finalement, tout en fessant venir l'eau pour nettoyer tout le sang qu'il pouvait voir, du moins pour le moment.

Verseau passa le regard sur toutes les blessures qu'Isilvia décrivait. Il s'inquiètait spécifiquement pour son dos; il était possible qu'un des nerfs soit décalé. Puis d'un coup la gorge de la louve se mit à saigner. Elle eu une hémoragie accute à la jugulaire. Verseau ecarcilla les yeux et cria:

"Terra! Urgence!" Il posa une aile contre la gorge d'Isilvia et continua d'appeler Terra pour qu'elle se dépèche. Il tenta avec l'autre aile d'attraper le plus possible de toiles d'araignées, mais c'était trop loin. Finalement Terra arriva et il l'ordonna de tenir la blessure. Il prit les toiles et l'enroula autour du cou. En même temps il expliqua:

"Tu as une hémoragie externe Isilvia. Faut qu'on ferme la blessure" Et il fit exactement cela. Quand la  plaie fut enfin bandée il lacha un souffle satisfait puis se tourna vers Terra pour la remercier.

Verseau était plutôt fière de lui d'avoir reussi d'arreter cette hémoragie; ça aurait potentiellement pû tuer Isilvia. Puis à ses paroles, il s'approcha et passa le regard sur son dos. Extérieurement elle n'avait que des blessures superficielles, rien qu'il ne pouvait pas arranger. Mais intérieurement il s'inquiétait bien plus de l'état de sa colonne vertébrale. Il avait bien vu sa démarche et il voyait très bien comment son dos courbé en se moment. Il dit:

"Tu as des blessures superficielles, rien de grave. Mais je m'inquiète un peu pour ta colonne. Tu peux avoir déplacé un nerf, ou pire un peu être casser" Il ne voulait pas l'inquietait mais il devait être honnête. Il alla vers la reserve de plantes qu'il avait mener par là et prit du thym. Il le malla pour que ca face une poudre puis le tena à Isilvia "Voici du Thym non dilué. Sa aidera contre la douleur quand je touche ton dos"

Il la laissa le prendre puis se tourna vers le dos. Il s'asseya et mit une patte avant sur le coté de la colonne vertébrale, proche des côtes. Plus il s'approchait des épaules plus il s'inquiétait. Il lanca une injures mais d'un coté il était assez soulagait. Il expliqua:


"Un de tes nerf est brisé. Mais tu as eu énormément de chance. Si sa aurait était le nerf supérieur tu aurais était paralysé. Celui là je peux encore le sauver. Je vais mettre un bandage temporaire de toiles d'araignées; et quand j'aurais préparé les bons ingrédiants je te ferrais un bandage correcte" Et il alla chercher les toiles et les mits.

Besoin d'aide.

Libre pour la terre

Il m'expliqua le problème de mon dos et fut aller chercher ce qu'il fallait, je le laissais faire, attendant qu'il ai fini.
J'avais toujours autant mal.. En tout cas ce n'est pas le lendemain que j'allais courir comme une gazelle ou encore moi me battre..
A ce moment je me disais que je n'allais me montrer à personne sous cet apparence faible; je me disais que j'allait surement rester dans la grotte 1 jour ou 2.
Une fois qu'il ai fini je lui demanda;

"Je dois rester tranquille combien de temps..?"

Désolé pour tous ce temps mais j'ai eu les moral dans les chaussettes .A.

Le temps à réserver pour le bandage est plutôt considérable, un temps que malheureusement il n'a pas. Il demanda à Isilvia si elle voulait bien patienter quelques instant; lui en attendant alla vers les autres guérisseurs. La plupart avait les pattes bien pleine d’ingrédients de tout sortes mais il n’avait pas de mal à en trouver une qui pouvait se permettre le temps de l’aider. Il lui expliqua exactement ce qu’elle devait faire et quel était bien sur les blessures. Puis il se retourna vers Isilvia, se souvenant qu’a ce moment là qu’il devrait peut-être un jour lui répondre. Il tourna un peu autour de la grotte en disant :
 
« Si c’était mon choix, je te forcerai la tranquillité jusqu’au restant de tes jours ; mais je connais l’obstinité des guerriers et on va dire que tu restes tranquille jusqu’à ce que je juge que tu puisses faire autrement » Elle allait devoir accepter que le temps de récupération pourrait prouver long. Elle avait après tout des blessures qui transcendés la limite du superflus. Il s’asseya devant elle ; il n’aimait pas le faire mais dans sa capacité de guérisseurs il n’avait très peu de choix. Il avait demandé aux guérisseurs de faire la pommade pour que lui puisse avoir cette conversation paisiblement.
 

« On rentre à présent dans les détails plus embarrassant » Dit-il doucement « Ta colonne est le cœur de ton corps qui bouge. Tu va avoir quelques problèmes à marcher, cela tu le savais. Mais il faut que tu sois consciente du fait que tu va peut-être avoir des problèmes pour avaler correctement ; tu ne pourras pas trop courir car une respiration forte peut être endommageant. Le dernier point est que tu va très probablement avoir des problèmes au niveau de ton urine. Passer l’eau deviendra une affaire possiblement douloureuse. Maintenant je sais que c’est embarrassant mais sur ce genre de point tu ne dois réellement pas hésiter à demander mon aide, sa ira plus souplement »
 
Finalement il pu reprendre sa respiration et il la regarda.
 
« Tu as des questions ? »

Verseau pouvait parfaitement comprendre qu’elle veuille dormir, oublier entièrement toute l’affaire. Il avait lui-même était dans le même bain il y a quelques temps. Paralysie partielle et temporaire ; mais il ne s’était jamais sentit aussi malheureux. Il se retourna pour plonger le nez dans sa réserve. Il sentit pour le Thym et l’attrapa entre ses crocs avec un sens de victoire. Rapidement il le posa devant le museau d’Isilvia et dit :
 
« Ca t’aidera à dormir. Tu n’es pas obligé de le prendre, mais je vais mettre le bandage alors que tu dors donc ca évitera qu’on te réveille »
 
Il la laissa faire comme elle voulait et se retourna vers ses camarades. La louve qu’il avait abordé précédemment était prête il semblait alors il alla la voir pour tester la mixture. Il le sentit pour remarquer les différentes proportions. Il y avait une majeure partie de consoude, naturellement, pour traiter les os cassés ; mais il y avait une touche de Lavande, rien de trop pénétrant. Normalement la lavande serait utilisée pour les maux de tête ; mais dans le cas présent ca servirait d’atténuation. Il la laissa dormir, Isilvia, et appela l’aide de quelqu’un d’autre. Ensemble il pouvait le faire. Son congénère était chargé de soulever le dos de la louve, en fessant attention de bien sur pas lui faire du mal ; et  lui mit la pommade. Puis ils mirent le bandage fait de toiles d’araignées autour et ils avaient finis. Il remercia son aide et se mit lui-même à soigner d’autres loups ; gardant un œil sur Isilvia pour quand elle se réveillerait.

« Verseau ! » Une voix l’appelait et le pauvre loup grogna en se levant de son sommeil. Il était épuisé, mais duty calls. Un autre crie de C’est une urgence retentit et il se mit à courir. Arrivé sur place il réalisa que ce n’était pas une urgence ; sérieux certes mais loin d’être une urgence. Il marcha avec grâce et une certaine délicatesse dans sa grande fatigue mais s’était facile. Le jeune guerrier était simplement accidenté et survivrait avec une grande facilité. Puis finalement, avec l’odeur d’une grande variété de plantes dans les narines, il se recoucha. Son regard se posa sur Isilvia et il soupira. Il se releva et alla la voir. Il regarda sous les bandages, et enleva ceux qui cachaient les blessures superficielles. Il laissa les bandages sur sa colonne vertébrale bien sur. Il l’avait bien sur réveillé avec tout cela. Il dit à Isilvia :
 

« Bonjour Isilvia. J’ai fait tout les tests ce matin et tu peux partir si tu veux. Bien sur je veux que tu fasse attention au bandage ; ne te pas surtout pas ; et si tu pourrais revenir me voir demain »