Comme à mon Habitude, je m'étais assise sur le sol, le dos droit. Mon regard, était dans le vide absolue, je ne savais ce que je faissais et je ne voulais, à peine réfléchir tant la fin de cette guerre m'avait touchée.
Ma patte se leva, et s'abbattit sur le sol tendis qu'une brise d'air frais ébouriffa mon pelage marron.  Mon msueau se redressa vers le ciel.
" L'Hiver approche. Le froid et les maladies aussi "
Je ne suis pas du genre de louve à aimer le froid. Je deteste cela. Déjà que je contrôle mal mon pouvoir, avec le froid, je ne peux pas même esssayer. Mais l'aventage de la neige, c'est qu'elle cache ce qui doit être caché sur l'herbe, et qu'elle nous donnera de l'herbe. De l'herbe pour les gibier que nous chassons. Mon temps à moi, il est passé à ne rien faire, même en veillant sur ce que je doit surveiller, je ne trouve rien à faire. Mon regard tourne au vide, et je pense. Je pense comme à chaque fois. Je pense à tout, à rien. Mais là aujourd'hui je découvre que la vie n'est qu'une partie. Et que nous loup, comme d'autre animaux, ne vivons que pour mourir. Certains meurs tués, d'autre de vieillesse ou de maladie. C'est une boucle. Une boucle.
Ce n'est pas parce que je n'étais pas très proche de notre ancienne Alpha, que sa mort ne matriste pas, et ne matriste pas toujours.

Brusquement, je sentit sur moi ce posé un regard. Mes oreilles s'agitèrent donnant l'impression que je fut une hélice. Du coin de l'oeil je ne pouvais voir personne. Forcément, s'était derrière moi. Je restait immobile. J'eu un frisson à cause de ce maudit vent d'hiver.
La présence derirère moi s'était rapprochée à ce que je pouvais déduire
-Bon matin Sarkava.
Je trounais mon corps, pivotant de façons à faire face à ce loup qui m'adressait la parole l'un des rare surtou. Mes yeux clignèrent. Le nouvelle Alpha BlackFury, se tenait désormait en face de moi, affichant un grand sourire. J'inclinais de côté ma tête, reculant d'un pas.
-Bonne matinée à toi aussi.
Dans mes habitude, je ne vouvoy pas. Pas même l'alpha, ce n'est pas de l'impolitesse, juste comme cela que j'ai grandit.
- Que me vaut le plaisir? Dis-je alors, les oreilles inclaient vers l'avant.Je pense que t'la remarqué, mais l'hiver approche. Les proie ce font rare, et je ne sais si certains de nous vont encore mourir. Encore. Terminant cette prhase, j'émis une sorte de soupir
J'afficha moi aussi, avec peine un sourire, formant plus un rictus. Attendant une réponse ou une réaction du moins, je m'était rassise, le dos toujours aussi droit qu'à mon habitude. Mes oreilles pointée vers le ciel, et mes muscles plus ou moins contractés.

Spoiler:

Mes oreilles s'étaient dressées au sommet de mon crâne. Mes yeux s'étaient plissées sans raison apparente.

-Je ne pense pas moi. La guerre est maintenant finie, tous les clans cherchent à se guérir  et reprendre des forces. Bien sur on ne doit pas baisser notre garde pour ça, mais nous pouvons se concentrer sur la chasse. En plus, nous avons découvert un nouveau territoire, les proies sont plus nombreuses.

Le nouveau territoire ne changera rien. Je calla ma tête sur le côté droit entre-ouvrant ma gueule. Peut être pensait-il me rassurer. Me rassurer? Ai-je peur? Suis-je comme cela? Je ne sais plus. Je ne sais plus rien. J'avance dans un monde obscure ou tout passe et casse. Mais, peut petre ai-je une solution. Peut être puis-je prouver ma valeure? Nos nouvelles terres sont vastes. Je ne les connaient pas toute encore. Je tâche de rester normale mais tout est chamboulé dans ma tête. Je vois sans connaitre ce qui m'entoure. Je sent sans reconnaître ce que je devrais.

J'attend. J'attenderais, et j'attendais. C'est comme cela. Une atroce douleur traversa mon flanc droit. J'eu une sorte de frisson essayant de caché la grimace qui s'était affichée sur mon museau.

_ Dit moi, tu essais de me rassurer? Je sais bien que les proies sont plus nombreuses, mais certaines partent avec le temps. Au grand froid, les cerfs quitte les régions. C'est comme cela. Mais rien ne change jamais. La guerre est peut être finie, mais elle restera dans les pensées de chaque être qui la connue. Sinon a quoi bon se souvenir de nos morts? Il ne faut par contre, pas rester dans le passé. Sinon nous y resterons coincé. Il ne faut pas non plus avoir peur. Il suffit tout simplement de prouver que l'ont mérite d'être qui ont est et d'avoir survécu. Il suffit de rester soit même.

J'avais dit là, l'une des phrase les plus sensée de mon existence. J'avais tout ce qu'il fallais pour faire preuve d'intelligence. Mais s'était comme ça. La vie c''était la vie. Ce que j'ai vécu jamais je ne l'oublierais. Mais ce que je doit vivre restera aussi. Et si un jour je doit mourir, et bien ce sera comme cela. L'alpha ouvrit à moitié sa gueule comme si il voulait me demander quelque chose mais je n'avais pas deviné quoi.

La douleur de mon flanc s'était accentuée et je m'étais écroulée sur le côté gauche. Un jappement s'échappa de ma gueule. Je ne savais pourtant pas pourquoi j'avais tant mal. Je ne comprenais plus.